En février 2022, lors d’une conférence de presse, un groupe de parlementaires européens réunis autour du député roumain Cristian Terhe, a exigé la démission immédiate de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
« Ursula von der Leyen fait partie d’une gigantesque fraude scientifique covid-19 et d’une campagne de propagande qui a causé et continuera de causer une violation massive des droits de l’homme et des libertés. Il s’agit d’une menace pour la démocratie en Europe. En raison de ses activités et des conflits d’intérêts majeurs, elle devrait démissionner de son poste de présidente de la Commission ».
Une commande de 35 milliards avec son portable
Ursula von der Leyen est une farouche partisane des vaccins et dispose d’un excellent réseau dans l’industrie des vaccins. Elle entretient ainsi une relation de grande confiance avec le chef du géant pharmaceutique américain Pfizer, Albert Bourla. Cette sorte de diplomatie personnelle d’Ursula von der Leyen a culminé en avril 2021, avec la conclusion du plus grand contrat pharmaceutique de l’histoire de l’U.E.
L’Union Européenne, en fait Ursula, a commandé 1,8 milliard de doses de vaccins Pfizer. Le volume estimé du contrat est de 35 milliards d’euros. Cette commande a été faite avec le téléphone portable d’Ursula, sans passer par le Parlement, en violation de tous les règlements de l’U.E.
Journalistes et eurodéputés demandent l’examen des messages échangés entre Ursula et le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Cependant, malgré de multiples requêtes concernant cette commande de 35 milliards, personne n’a pu obtenir les données du portable de von der Leyen.
Des contrats de millions d’euros avec son portable
Ce n’est pas le premier scandale de marchés scabreux. Déjà en 2019, lorsqu’elle était ministre de la Défense, son ministère, selon le Tagesspiegel, avait dépensé des centaines de millions d’euros pour des conseillers externes. Des entreprises externes auraient également obtenu directement, c’est-à-dire sans appel d’offres, des contrats de plusieurs millions pour l’armée allemande. Une violation claire de la loi. Là également, les contrats avaient été conclus par téléphone portable.
Une commission d’enquête a déclaré que les messages écrits constituaient des preuves. Peu de temps après, ils ont toutefois été complètement effacés. Tout a disparu.
Doctorat de médecine usurpé
En 1987, Ursula von der Leyen a passé son examen d’État de médecin, suivi quatre ans plus tard par un doctorat. 27 pages de sa thèse sur 62 pages étaient des copier/coller de travaux faits par d’autres chercheurs. Heidingsfelder, chasseur de plagiat, révèle l’affaire :
« Ursula était extrêmement paresseuse et a copié d’autres travaux sans état d’âme. Pour cette raison, la faculté de médecine devrait lui retirer son titre. La science ne se rend pas service en protégeant des politiciens renommés ». Cependant, là encore, 7 des 9 membres du sénat de la faculté de médecine de Hanovre ont voté contre le retrait de son titre en 2016.
Un faux passage à Stanford
Von der Leyen a enjolivé son CV. Ainsi, selon ses propres dires, elle aurait été auditrice invitée à la prestigieuse université de Stanford, à partir de 1993, et aurait même réalisé une analyse de marché pour le StanfordHealth Services Hospital Administration en 1995. Un atout important si l’on veut jouer dans la cour des grands.
L’université de Stanford n’était au courant de rien et s’est défendue contre l’utilisation abusive de son nom. Il n’existe pas de travaux réalisés par von der Leyen à Stanford. Elle n’a jamais été inscrite à cette université et l’université ne lui a délivré aucune sorte de certificat.
Quelque temps plus tard, en 2015, l’université a soudainement retiré ses accusations contre von der Leyen. Y avait-il des mécènes dans l’ombre qui destinaient Von der Leyen à de plus hautes fonctions ?
Présente quatre fois au Bilderberg
Avant qu’Ursula Von der Leyen ne devienne commissaire européenne, elle a officiellement participé à quatre conférences Bilderberg, un record absolu. La conférence Bilderberg est une réunion exclusive de dirigeants mondiaux à l’abri des regards, dans une totale opacité. Des participants, jusqu’alors peu connus, se retrouvent souvent à des postes élevés peu après avoir participé aux conférences Bilderberg.
Ursula Von der Leyen a participé pour la première fois à la réunion Bilderberg en 2015, puis l’année suivante en 2016, alors que les accusations de doctorat illégal et d’usurpation de nom de l’université de Stanford avaient soudainement cessé et n’étaient plus suivies par les médias.
Von der Leyen a participé à deux autres réunions, en 2018 et 2019, juste avant sa nomination particulièrement inhabituelle en tant que commissaire européenne en 2019. Cela a donné lieu à une brève protestation dans les médias. Le journal allemand Die Zeit a écrit le 16 juillet 2019 :
« Ceux qui votaient aux élections européennes pensaient aux têtes de file […], mais certainement pas à la ministre allemande de la Défense de l’époque. La manière dont Ursula von der Leyen est passée en quelques jours de la position de chef du département allemand de la Défense à la fonction la plus élevée de l’U.E. est donc un scandale ».
Qui soutient Ursula ?
Qui étouffe tous les scandales autour de ce personnage sulfureux ? On a l’impression que des cercles invisibles ont sorti Ursula von der Leyen du second plan pour la placer exactement là où ils voulaient la voir. Reste la question : qui sert-elle ?
Le père d’Ursula von der Leyen, Ernst Albrecht, était déjà un homme politique de haut rang. Il avait ainsi occupé différents postes dans les organisations qui ont précédé l’U.E. (la Communauté du charbon et de l’acier et la Communauté européenne (CE)). Il a ensuite été ministre-président de Basse-Saxe. On peut supposer que cela a favorisé la carrière fulgurante d’Ursula von der Leyen et la bienveillance des médias.
Son mari, Heiko von der Leyen, est devenu en 2020 directeur médical du groupe biopharmaceutique américain Orgenesis Inc., une entreprise qui travaille sur des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base de cellules, ce qui constitue un conflit d’intérêts majeur.
Piot conseiller d’Ursula
Peter Piot exerce son influence par le biais de nombreux postes clés à des endroits décisifs, tels que l’Institut Robert Koch, la Leopoldina (Académie nationale des sciences en Allemagne) et la Commission européenne. Piot est le conseiller personnel d’Ursula Von der Leyen en ce qui concerne la propagande covid. Il occupe un poste de direction au sein de la fondation Bill et Melinda Gates. Peter Piot siège également, entre autres, à la fondation de l’entreprise pharmaceutique Novartis.
Support mondialiste
Von der Leyen est le premier point de contact en Europe avec David M. Rubenstein, membre de la Commission trilatérale (réunion des élites d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie de l’Est). Il préside également les réunions du Council on Foreign Relations, think tank des plus puissants au monde. Le Forum économique mondial et la Commission trilatérale ont été fondés par les banques Rothschild et Rockefeller, entre autres.
Lors de la célébration de ses 60 ans, l’Atlantic Council, confédération mondialiste de super-riches, a décerné à Ursula von der Leyen, ainsi qu’aux directeurs de BioNTech et Pfizer, les plus grands honneurs. Cet événement a été sponsorisé par One American Bank, Goldmann Sachs, Bank of America, etc.
Ursula von der Leyen est étroitement liée à Klaus Schwab. Elle est la porte parole des hautes sphères mondialistes de la finance, des fondations, des think tanks et des multinationales. Elle est un pion de la dynastie Rothschild et des Rockefeller. Alors est-elle indéboulonnable ?
Depuis le refus du Grand Reset par la Russie et la Chine, la maison brûle. Ursula fera un excellent fusible pour tenter de faire redescendre la pression.
Source : www.kla.tv/23141,
Morphéus n° 116, mars 2023