La transition écologique et les taxes qui y sont associées constituent par des mécanismes élaborés, un transfert de richesses de 100 000 milliards de dollars des pauvres vers les requins de la haute finance.

Le réfugié climatique

On compte 20 millions de réfugiés qui ont franchi la frontière sud des États-Unis en 3 ans. Pourquoi ces gens fuient-ils leur pays ? Leur déplacement est généralement financé par des associations caritatives en lien avec le WEF, Soros et la haute finance.

En Amérique du Sud et en Amérique centrale, les associations et le partenariat privé/public prônés par le WEF engendrent des politiques de spoliations généralisées au nom de normes écologiques irréalistes.

BlackRock, Vanguard, l’ONU, Bill Gates et le WEF s’emparent des terres agricoles les plus fertiles en Amérique du Sud et en Afrique. La « société civile », à la solde du gouvernement et des ONG environnementales financées par les oligarques, retirent autant de terres et de ressources que possible de l’économie productive, pour les placer dans les banques foncières de BlackRock. Les agriculteurs sont chassés de leur terre au nom de l’Agenda 2030. Ils sont réduits à la mendicité. Viennent alors les associations caritatives du WEF pour financer leur départ vers les pays riches. Il faut appeler un chat un chat : ce ne sont pas des réfugiés climatique, ce sont des réfugiés BlackRock…

Les quotas de migrants

Les quotas de migrants sont proportionnels aux destructions d’entreprises familiales agricoles engendrées par la rapacité de BlackRock en Afrique et en Amérique du Sud, sous couvert d’écologisme bien sûr. BlackRock finançant les gouvernements occidentaux sur le marché international, impose des quotas de migrants à l’Europe et aux USA. Il faut absorber la misère créée par ces requins de la finance internationale. L’idéologie no border est une idéologie fabriquée de toute pièce par ces pieuvres de la finance.

Les populations les plus à même de comprendre cette manipulation grossière sont les Européens et Américains de souche. Submerger les pays du Nord avec des populations déracinées permet de diluer la conscience politique des peuples et à terme de diviser le pouvoir d’achat par trois. L’homme anti-migrant est un raciste, le no border pro-migrant est un héros. Dans la réalité, le premier comprend que quelque chose ne va pas et le second n’est que l’idiot utile de la rapacité oligarchique.

La transition écologique est un mécanisme financier complexe qui, sous couvert de « sauver la planète », vise, en réalité, à enrichir la classe des prédateurs.

Le marché carbone engraisse qui ?

Vanguard, Bill Gates, BlackRock, s’emparent lentement de vastes étendues de forêts. Ces achats se font avec de gigantesques déductions fiscales. Comme les arbres mangent du CO2, cela leur permet d’avoir du crédit carbone tous les ans avec des déductions fiscales pérennes. Ces structures transnationales achètent des terres pour ne pas payer d’impôts tout en disposant des actifs les plus précieux de toute la planète.

Les Kapos verts de BlackRock

Chaque ferme, chaque entreprise rurale, chaque exploitation forestière, chaque promoteur, chaque entrepreneur et constructeur, chaque chaîne d’épicerie, chaque entreprise seront dorénavant contrôlés par de petits commissaires écologiques. Les normes écologiques ne sont qu’une stratégie visant à ruiner entrepreneurs et agriculteurs. Les petits commissaires politiques sont payés par l’intermédiaire d’organisations environnementales financées par BlackRock. Nous allons commencer à les voir un peu partout en France. Avec sa myriade de filiales à travers le monde, BlackRock raflera la mise en rachetant tout à vil prix, voire simplement en effaçant quelques dettes. Les oligarques auront ainsi un monopole sans partage de toutes les ressources planétaires.

Elizabeth Nickson, extraits

Morphéus n° 124 juillet-août 2024