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Éditorial Morphéus, n° 73 janvier 2016

La divulgation n’est pas une simple histoire d’ufologues en mal de preuves concernant une vie extraterrestre. La divulgation permettra de mettre à disposition tout un arsenal de technologies cachées dont nous parlons dans Morphéus depuis 13 ans : générateurs électriques surnuméraires, techniques de transmutation des matières radio-actives type plutonium ou uranium, puissantes méthodes psychologiques de reconstruction, appareillages médicaux et chirurgicaux révolutionnaires de régénération cellulaire, technologie de dépollution des eaux et enfin modèles novateurs de gestion économico-politique des ressources planétaires. Les solutions sont au-dessus de nos têtes…

F. M.

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Préambule

Des indices historiques et scientifiques laissent à penser que les choses évoquées par Randy Cramer ont un haut niveau de crédibilité. Il dessine les contours d’une conquête spatiale secrète de notre système solaire qui commença en 1948 avec un premier alunissage. Une première base lunaire fut opérationnelle en 1954. De là, il fut possible de conquérir Mars et d’y installer également une base fin des années 60. L’homme parle de projets de bases sur Titan, lune de Saturne et sur Triton, lune de Neptune. Il laisse entendre que l’homme a déjà posé le pied sur Ganymède, lune de Saturne, sur Europe, lune de Jupiter, et sans doute Obéron, lune d’Uranus. Les révélations de Randy Cramer sont soutenues par Laura Eisenhower, petite fille du Président Eisenhower qui fut personnellement conviée à aller sur Mars et par Andrew Basagio qui participa au Projet Pégase relatif aux technologies de télétransportation.

Historique des technologies terrestres

Le 23 mars 1956, sous la plume de l’auteur américain Intel, la revue spécialisée Interavia publia un article relatif à l’électrogravitation et aux moyens de maîtriser la pesanteur. L’article affirmait que ce type de recherches se poursuivait depuis 30 ans déjà. Alors qu’avions nous comme recherches sur l’antigravité dans les années 20 ?

On peut citer Tesla qui évoquait cette possibilité, malheureusement tous ses travaux ont été confisqués en 1943 et classés secret défense. On peut cependant fortement penser que Tesla connaissait et avait expérimenté les effets de puissantes différences de potentiel sur des matériaux. Dans les années 20, l’autrichien Schauberger fabriqua la Répulsine fondée sur le principe des vortex.

On peut noter également les modules lévitants verticalement de l’américain Henry Bull qui fit une démonstration en janvier 1935.

A cela s’ajoutent les travaux gravito-gyroscopiques anglo-saxons d’avant guerre qui donnèrent lieu à des brevets déposés par Henry Wallace et d’autres scientifiques plus tard.

Bien que presque tout document à ce propos ait été confisqué, il est indéniable que quelques sociétés secrètes allemandes envisageaient et travaillaient à la réalisation d’engins antigravifiques dans les années 20. Ces travaux donneront lieu incontestablement à la fabrication de tels engins fin des années 30 en Allemagne. En 1945, ces technologies seront en majeur partie saisies par les américains et dans une moindre mesure par les russes.

L’article de 1956 de la revue Interavia précise qu’avec le concours d’une douzaine d’entreprises américaines, l’antigravité sera maîtrisée sous quelques années. C’était oublier que John Searl, Henry Bull, Schauberger et d’autres scientifiques allemands et américains dans des cadres civils ou militaires avaient déjà touché au but depuis des années sinon des décennies.

Le point de vue d’Einstein

La position d’Einstein concernant cette question, est extrêmement pudique mais très significative : « Il n’est pas vain d’espérer acquérir un jour une connaissance plus claire de la gravitation, car la généralité et le détachement extrêmes de la théorie de la relativité peuvent être éclairés par l’étude particulière d’un mécanisme précis ». On peut difficilement imaginer que Einstein évoque « l’étude particulière d’un mécanisme précis » sans avoir eu vent de quelques techniques à différence de potentiel antigravifiques, de mécanismes inertiels de type gravito-gyroscopiques ou autres…

Même si toute cette histoire relevait d’implants mémoriaux, d’une conscience clonée ou de transferts de données via un Remote Neural Monitoring (transfert de data à distance), il n’en demeure pas moins qu’une certaine cohérence chronologique existe au vu des bribes d’informations dont nous disposons sur les technologies exotiques depuis 1945…


Une divulgation sur ordre de ses supérieurs

Randy Cramer (alias Captain Kaye) de l’US Marine Corps (USMC), dit avoir servi durant 20 ans dans une armée spatiale secrète transnationale. Pour ses divulgations l’homme affirme agir sur ordres directs de ses supérieurs militaires. Il aurait le feu vert de la part d’un général de brigade et d’un colonel de la branche secrète de l’US Marine Corps (USMC).

Randy Cramer :
« Le Colonel Jamieson m’a mis en contact avec un homme se présentant comme le Général de Brigade Smythe. Le Général Smythe m’a donné une explication assez longue sur les « êtres sans âme du Comité » qu’il était censé servir, et sur les désaccords graves entre l’USMC avec ledit Comité. Sans m’étendre, j’ai été convaincu par ses explications et ses choix stratégiques. Quand il m’a personnellement donné le feu vert (il a dit, et je cite, « Je vous donne le feu vert pour aller parler au public de tout ce que vous savez… »). Je demandai : « Tout ? ». Et il a dit : « TOUT ! »

L’USMC un organisme créé par Eisenhower

Randy affirme que le président Eisenhower a créé cette section spéciale du Corps des Marines des États-Unis en 1953 afin de disposer d’un contre pouvoir face au complexe militaro-industriel en charge de « Black Project ». Icke voulait s’assurer qu’un corps militaire éthique et respectant un code d’Honneur puisse lui survivre. Il souhaitait disposer d’une unité militaire disciplinée et sous serment, en marge des services de renseignement US, de l’Armée classique et des forces aériennes. Le recrutement s’est fait dans la première classe des officiers de la Marine et du Corps des Marines, avant de créer leur propre académie d’officiers spécialisés. L’existence de cette unité militaire n’a été révélée que fin 2013 par Randy Cramer en personne.

Fabriquer des supers soldats

Randy affirme avoir été génétiquement modulé avant sa naissance afin de pouvoir supporter physiquement et mentalement les voyages spatiaux. Il a commencé son service à l’âge de 17 ans. Il se définit comme un être issu de brevets génétiques appartenant à l’Armée. Il est techniquement une propriété de l’Armée US.

Ses aptitudes mentales, émotionnelles, sensorielles, psychiques et physiques seraient très supérieures à celle d’un être humain naturel. Concernant la programmation mentale utilisée par les services militaires secrets, il distingue deux types de contrôle mental.

« Les techniques utilisées pour me former mentalement sont un type de programmation visant à « Agir volontairement ». Cela diffère des programmations MK Ultra visant « l’obéissance sans réflexion ». Ces dernières forcent les supers soldats à tuer sur ordre sans distinction, et au-delà à se suicider sur ordre si nécessaire sans aucune résistance, ni instinct de survie. Ce type de programmation a causé tant de désastres sur les sujets qu’il a été totalement abandonné pour l’armée spatiale… ».

« La programmation visant « l’action volontaire » ne cherche pas à créer un être qui tue sur commande autrui ou soi-même. Elle vise à générer un profond instinct de protection de sa tribu et de son territoire. Si une menace est identifiée, le soldat va alors utiliser toutes ses connaissances, ressources et ruses pour détruire toute chose qui pourraient nuire au périmètre d’un territoire, à l’habitat, ou aux êtres qu’il est génétiquement prédisposé à protéger. Toutes les unités de l’USMC fonctionnent sur ce mode de programmation. »

La guerre d’empoigne entre les directeurs des différents « Black Project »

« Autrefois il y avait un effort assez coordonné des différents programmes clandestins pour l’avancée des technologies exotiques. Cependant cette entente des débuts a dégénéré en conflits aiguës. Chaque directeur de programme « Noir Profond » qui a le contrôle d’un secteur de recherches, refuse de partager ses résultats et données. Pire, il essaye de voler et d’acquérir les données des autres. Chacun essaie de protéger les siennes en les camouflant dans des sous-programmes, de sorte qu’elles ne puissent être volées. Des alliances se font et se défont dans ces interminables conflits ».

« Toute haute technologie a pour objectif l’espionnage et vise à s’accaparer les données des autres programmes clandestins. Cela se fait dans l’espoir de gagner la « course aux Projets les plus secrets ». Doté d’une supériorité technologique sans partage, le gagnant pourra alors refaire le monde à son image et réécrire toutes les règles. Sans contre pouvoir, il n’y aura alors plus rien pour les empêcher de faire ce que bon leur semble, y compris le pire ».

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Earth Defense Force

Randy a été choisi dans le cadre d’un projet nommé Moon Shadow (ombre de la Lune). Il a intégré la Earth Defense Force (Force de Défense Terrienne). A la fin de la seconde guerre mondiale a démarré un programme spatial secret, militaire et civil qui a impliqué tous les membres des pays industrialisés (G20). Ce projet faisait partie intégrante d’un programme de sécurité de l’ONU. La découverte des technologies antigravifiques de l’Allemagne nazie et la récupération d’un OVNI aux larges de la côte Ouest des Etats Unis ont amené les nations industrialisées à s’engager dans un programme spatial international. Le cœur secret de ce programme spatial consistait à comprendre, étudier et reproduire des technologies antigravifiques fonctionnelles existantes. Le programme spatial public avec des fusées type Saturn fut une devanture. D’ailleurs la technologie des moteur-fusées n’a pas évolué depuis les années 60, c’est dire le peu d’intérêt que suscite cette approche spatiale depuis 56 ans.

Le programme spatial secret permit de se poser sur la Lune en 1948. La première base permanente sur la Lune fut opérationnelle en 1954. A cette époque, Eisenhower établit les premières relations diplomatiques secrètes avec deux races extraterrestres. Pour l’une d’entre elles, ces rencontres donnèrent lieu à des traités et des échanges de technologies militaires exotiques contre des ressources terrestres (eau, génome humain, abductions…). Ces accords furent dénoncés dans les années 80 et les relations avec cette race, définitivement rompues en 2006.

Mars Defense Force

En 1987, à partir d’une base américaine j’ai embarqué sur un Astra TR3B (engin antigravifique triangulaire fabriqué aux USA). Nous étions environ 40 militaires. Cet appareil nous a emmené sur la Lune dans une base où j’ai subi de nombreux examens médicaux. Les TR3B font la navette entre les bases terrestres de l’armée spatiale et les bases lunaires. Ce voyage dure en moyenne 90 minutes. Plusieurs milliers de soldats sont ainsi regroupés sur les bases lunaires.

Sur la Lune, nous sommes montés à bord d’un grand vaisseau chrome d’environ 5 étages de haut et 500 mètres de large pouvant prendre à son bord 2 à 3000 militaires. Pour des raisons de sécurité nous n’avions aucune information sur notre destination et le but de notre mission. C’est seulement arrivé à notre destination qu’ils nous déclarèrent : « Bienvenue sur Mars ! ». Après un débriefing je sus que j’étais préposé à intégrer une unité dont je ne connaissais pas l’existence : « la Mars Defense Force » (Force de Défense Martienne).

Le voyage en direction de Mars ne dura que 15 minutes, car l’énorme vaisseau dans lequel nous étions est passé par un trou de ver. Un trou de ver plie l’espace-temps localement et permet de voyager quasi instantanément d’un point à un autre de l’univers.

L’univers martien

Même si son atmosphère est respirable pour un être humain, du fait de très violentes tornades, de fortes variations de température et d’un oxygène raréfié, la planète est difficilement habitable en surface…

Extraits de Morphéus n° 73, janvier 2016.

Suite de l’article dans le Morphéus n° 73 et dont pouvez obtenir la totalité du journal :