Il existe 133 publications scientifiques du professeur Beljanski diffusées et accessibles à toutes les universités dans le monde. Ces travaux sont français, réalisés par un esprit prolixe, novateur et puissant qui a ouvert la voie à un traitement sélectif du cancer et à des solutions très prometteuses concernant le sida. Pour une fois que l’argent des contribuables a servi une grande avancée scientifique en biologie moléculaire, nous pouvons en être fiers. Cependant, il semble que nos cancérologues ne savent pas lire, il est vrai que quelques publications ont pu être faites en anglais…
Si le cancer est une priorité nationale, avant tout, il est essentiel d’alphabétiser nos cancérologues tout en leur apprenant la langue de Shakespeare.
Nous pouvons, dores et déjà, leur présenter quelques découvertes fondamentales qui ont abouti à des anticancéreux sélectifs efficaces et non toxiques.
- A l’instar de Jacques Monod, dès les années 70, Beljanski fait la démonstration qu’une enzyme permet de transformer un ARN en ADN.
- Beljanski découvre quelques années plus tard une différence physico-chimique entre l’ADN d’une cellule cancéreuse et l’ADN d’une cellule saine au niveau des liaisons entre les nucléotides. Cette découverte est essentielle si l’on souhaite trouver un traitement sélectif du cancer.
- La suite logique sera de découvrir un test (dit oncotest) fiable à 100 % pour distinguer sans erreur possible les cellules cancéreuses des cellules saines. De là, il va pouvoir tester des molécules pour tenter de détruire un ADN cancéreux.
- Il testera toute une série de molécules anticancéreuses : des alcaloïdes de la classe des béta-carbolines, l’alstonine, la serpentine, la sempervirine, la flavopereirine. Ces alcaloïdes bloquent la réplication de la cellule cancéreuse qui meurt alors sans descendance. A dose thérapeutique ces alcaloïdes ne présentent aucune toxicité pour les cellules saines.
- Pour pénétrer la membrane des cellules cancéreuses Beljanski avancera qu’une légère chimiothérapie ou radiothérapie permet aux molécules anticancéreuses telle la flavopereirine de se fixer sur l’ADN des cellules cancéreuses. La synergie avec les traitements classiques est très clairement exposée.
- Beljanski inventera ensuite le RLB constitué d’un petit ARN issu de la bactérie Escherichia coli, traité de façon à faciliter la multiplication des globules blancs et des plaquettes non cancéreux. La diminution de ces cellules lors des traitements anticancéreux classiques, est alors compensée par le RLB.
- Ensuite, le Bioparyl verra le jour, il permet d’éviter les fibroses consécutives aux radiothérapies. Le Bioparyl provient d’un arbre qui a repoussé après les bombardements de Nagasaki et Hiroshima. Il contient une molécule qui protège des rayonnements.
- Fort de sa puissance novatrice en biologie moléculaire aboutissant à des traitements anticancéreux non toxiques, des malades commenceront a solliciter le professeur Beljanski dès 1982. Il mettra au point le PB100 à base de flavopereirine qui sera par la suite demandé par François Mitterand en personne. Ce dernier cachant un cancer généralisé très avancé à toute la classe politique, prendra du PB 800 afin de pouvoir se maintenir aux commandes de l’Élysée jusqu’à la fin de son mandat…
L’affaire Beljanski a des traits pédagogiques et populaires. Elle a amené des dizaines de milliers de patients à tenter de faire comprendre aux politiques certains aspects de la biologie moléculaire. Des centaines de milliers de simples citoyens sont plus avancés dans leur compréhension du cancer ou du sida que la plupart des spécialistes. C’est une situation logique dans un pays où toutes les familles ont au moins un membre atteint de cancer. Solliciter des dons pour des cancéropoles protocolaires et attardés, par rapport à la technologie Beljanski, a ses propres limites. Nier l’existence des travaux Beljanski quand la lutte contre le cancer est déclarée priorité nationale, a un coût politique, voire diplomatique.
F. M.
Pour une information complète voir les sites :
www.beljanski.com
www.natural-source.com
www.evibooks.com
Contre 2 carnets de timbres adressés au CIRIS,
Secrétariat des bénévoles, BP9, 17550 DOLUS D’OLERON
vous pouvez recevoir un dossier complet d’information.
Tél. : 05.46.75.39.75