ebola-une.jpg

ebola-une.jpg

Le professeur Pascal Adjamagbo avec la collaboration des Docteurs Guy Alovor et Kanyana Mutombo lancent une pétition au nom de la science à l’Union Africaine. Ces docteurs en médecine demandent une commission d’enquête internationale du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Union Africaine sur l’origine du sida et d’Ebola.

  1. L’actualité brûlante de l’épidémie de l’Ebola, dont le pouvoir foudroyant du virus a amené l’OMS à décréter « une urgence de santé publique de portée mondiale » et à déclarer qu’« une réponse internationale coordonnée est essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale du virus », sans soulever toutefois la question scientifique de l’origine réelle du virus et les manipulations à l’origine de sa diffusion pour le combattre efficacement.
  2. L’ampleur des ravages déjà causés par la pandémie du Sida dans le monde a gravement touché l’Afrique sub-saharienne. Selon les chiffres de l’OMS, 25 des 34 millions des porteurs du virus du Sida dans le monde et plus de 90 % des enfants contaminés vivent dans cette région. Cela a amené l’ONU à créer en 1995 le programme ONUSIDA destiné à coordonner la mobilisation mondiale contre cette pandémie. Cependant, jusqu’à ce jour, les moyens scientifiques et de renseignements n’ont jamais été mobilisés pour déterminer de manière sûre l’origine réelle et les mécanismes à l’origine de la diffusion du Sida.
  3. La transmission des virus du sida et d’Ebola à l’homme via certains animaux porteurs sains est une thèse scientifiquement irrecevable. L’Afrique est le berceau de l’humanité, les hommes et les animaux y cohabitent depuis des millions d’années. L’apparition des maladies du sida et de l’Ebola à partir de 1958 et 1967 nous amène à orienter les recherches vers des causes purement humaines, plus précisément à évoquer la mise au point et les manipulations « d’armes biologiques de destruction massive » dont l’Afrique sub-saharienne se trouve être la cible principale et la première victime sans comparaison avec d’autres régions du monde.
  4. Entre 1980 et 1994, le programme COAST développé par le régime sud-africain de l’Apartheid, a consisté à mettre au point « des armes biologiques sélectives », dirigées contre les populations noires d’Afrique. Le journaliste français Tristan Mendès France, dans son livre « Dr la Mort : Enquête sur le bioterrorisme d’État en Afrique du Sud », publié en 2002 précise :
    « Anthrax, Ebola, Sida, Choléra, stérilisation de masse, poisons chimiques ethniquement sélectifs, figurent parmi les armes envisagées par les autorités de l’Apartheid contre la population noire. Un projet de guerre biochimique à caractère raciste largement soutenu par les puissances occidentales. Mis sur pied en 1985, le programme militaire n’a apparemment pris fin qu’en 1994, sans que toutes les responsabilités soient clairement établies. A ce jour, nul ne sait où a disparu cette technologie de mort, ni entre quelles mains elle se trouve. Encore moins sait-on qui pourrait en faire usage ».
  5. Des accusations graves confirment que le programme COAST du régime de l’Apartheid a bénéficié d’une collaboration scientifique internationale. Le Dr Boyd E. Graves l’atteste dans son livre publié en 2001 State origin : the evidence of the laboratory birth of AIDS (« Origine étatique : la preuve de la naissance en laboratoire du sida »). Le docteur Boyd démontre comment, sous couvert de recherche sur le Cancer, le programme « Special Virus », lancé le 12 février 1962 par l’Administration américaine, a contribué à la création, à la production et à l’inoculation en masse d’un « vecteur » du sida.
    Le documentaire « les origines du Sida », diffusé en 2004 en Belgique, établit le lien entre la vaccination contre la polio (à base de reins de chimpanzé) d’un million d’enfants congolais, burundais et rwandais, et les premières manifestations du Sida dans cette région.
  6. Le docteur Leonard Horowitz, dans son livre La Guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, Accidentel ou intentionnel ?), établit les liens entre l’OTRAGland, (territoire de 100 000 km² vidé de sa population et attribué en 1976 par le président zaïrois Mobutu à une mystérieuse société allemande), et des industries et institutions travaillant dans le domaine de la mise au point d’armes bactériologiques au sein de l’OTAN.
    Le docteur Horowitz démontre que le sida et l’Ebola ne sont pas apparus de manière spontanée, ni n’ont franchi la barrière d’espèce entre le singe et l’homme de manière naturelle. Le virus de Ebola est apparu la même année que le « virus de Marburg » du nom d’une ville d’Allemagne où il a causé en août 1967 plusieurs morts parmi des laborantins qui le manipulaient sur des singes. Le virus de Marburg est apparu ensuite dans l’ex-Zaïre sous le nom « Ebola » en septembre 1967 précisément dans l’OTRAGland.
  7. La nécessité morale de lever le doute sur toutes ces graves accusations concernant l’usage « d’armes biologiques de destruction massive » est vitale. Il faut mettre un terme à l’impunité intolérable de véritables « crimes contre l’humanité ». Enfin, il faut protéger les populations contre la mise au point et l’usage « d’armes biologiques de destruction massive ».
  8. Il y a urgence de mettre un terme à l’inertie des autorités politiques africaines afin d’agir efficacement et énergiquement en amont sur les causes premières des épidémies du sida et de l’Ebola en Afrique.

Au nom de la Science, nous soussignés, scientifiques, intellectuels, acteurs politiques ou de la société civile, demandons instamment aux plus hauts responsables de l’Union Africaine, notamment de la Commission de l’Union Africaine, de saisir en urgence le Conseil de Sécurité de l’ONU pour obtenir l’établissement en urgence d’une « Commission Internationale d’Enquête sur l’origine et la diffusion du sida et de l’Ebola ». Sous l’égide du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Union Africaine cette démarche doit déboucher sur la création d’un « Tribunal spécial sur le sida et l’Ebola » afin de juger tous les responsables, commanditaires et exécutants, des crimes soupçonnés.

Pr P. Adjamagbo, www.petitions24.net
(traduction Morphéus)