Il est question ici du rôle ambigu des ONG (Organisations Non Gouvernementales). Il y est montré que sous couvert d’actions humanitaires, elles sont en fait les « mains blanches » de groupes n’ayant rien à voir avec le bien de l’humanité.
Beaucoup, pour ne pas dire toutes, sont des instruments au service d’une cause inavouable. On peut en dire autant de certaines Fondations. La maison mère de Greenpeace aux USA, celle qui donne les consignes, est financée par la Fondation Rockefeller. Cela signifie que le financier a aussi son mot à dire sur les choix des campagnes d’action de Greenpeace. Nous comprenons mieux son silence sur certains évènements mondiaux, pourtant essentiels…
WWF
Le WWF est un des autres organismes créés et gérés pour soutenir le Plan du Nouvel Ordre Mondial !
A ce propos Pierre Hillard déclare :
« Est-ce un hasard d’apprendre que le premier président du WWF fut le dirigeant du Bilderberg, le prince Bernhard (président de 1962 à 1976) ? D’autres présidents se sont succédés à la tête du WWF, comme John Loudon qui fut, comme John Kerr, président de la compagnie pétrolière, la Royal Dutch Shell. Ce conglomérat pétrolier anglo-hollandais est une des pépinières du Nouvel Ordre Mondial. Précisons aussi que le prince Philippe, époux de la reine d’Angleterre Elisabeth II, dirigea le WWF de 1981 à 1996 ».
Avaaz et Change.org même combat
Ce sont des écrans de fumée, ces sites pétitionnaires sont une gigantesque farce. Change.org, une organisation basée à San Francisco, emploie plus de 100 salariés et met en lignes 500 nouvelles pétitions tous les jours. La première question fondamentale que l’on doit se poser : quels sont les gentils financiers qui rémunèrent plus de 100 salariés chez Change.org ?
Change.org partage avec Avaaz la même opacité quant à leurs finalités intrinsèques. D’ailleurs, Ben Wikler, le directeur de campagne d’Avaaz est devenu le vice-président et directeur exécutif de Change.org. Quel est l’objectif réel de toutes ces pétitions ?
Disons-le, beaucoup de membres de ces ONG, fondations et autres organisations, sont sincères. Ils ne connaissent pas le véritable but. C’est ainsi que la Franc-maçonnerie qui comporte 33 degrés plus 13 niveaux, comprend de nombreuses personnes honnêtes. Abusées, manipulées, mais honnêtes et un peu naïves. Dans chaque mouvement, ce sont ceux qui sont dans le saint des saints, ceux qui tirent les ficelles, qui sont responsables des détournements d’objectifs.
Ces missionnaires de la démocratie se révèlent être des anges de la mort. Les ONG occidentales sont au service des bellicismes globalistes et en rapport entre elles. Lors de renversements de gouvernements très récents dans le monde, les ONG occidentales, de paire avec divers services secrets, ont joué un rôle central, en Serbie, en Irak, en Géorgie, dans les pays des printemps arabes et finalement jusqu’en Ukraine. Elles ont déstabilisé des pays bien ciblés, sous le prétexte d’une œuvre missionnaire pour la démocratie. Les organisations non gouvernementales ou ONG sont des organisations privées, qui n’agissent pas sous le mandat d’un gouvernement.
Au cours de ces dernières années, de nombreuses œuvres missionnaires occidentales pour la démocratie ont revêtu un habit d’ONG, et dans des pays qui leur déplaisent, ont entraîné des opposants au gouvernement. Elles ont financé des révolutionnaires dans de prétendues dictatures. Elles ont provoqué des soulèvements de masse et ont ainsi préparé le terrain pour des guerres.
L’Europe ressent actuellement cette souffrance sous la forme dramatique d’une vague de réfugiés. Ce n’est pas parce qu’aucun gouvernement officiel ne se trouve derrière elles, que les organisations non gouvernementales (ONG), ne sont pas moins dangereuses. Tout au contraire, les ONG les plus dangereuses au monde, agissent dans la hiérarchie du pouvoir, et même nettement au-dessus de certains gouvernements. Elles sont ensuite entremêlées avec d’autres réseaux d’ONG influentes. Celles-ci aiment se vanter d’agir de manière privée et indépendante du gouvernement. Par exemple des œuvres d’entraide « nobles » leur permettent d’avoir une profonde influence politico-économique dans des pays sous-développés.
Les bellicismes les plus puissants de la terre ne sont plus, depuis longtemps, les états et les gouvernements, mais des groupes privés qui tiennent ces états et ces gouvernements en laisse.
Si vous pensez que dans une démocratie, le souverain est toujours le peuple, et qu’il n’y a aucune instance au-dessus des gouvernements élus, c’est faux ! Le pouvoir sur terre est privatisé depuis longtemps, c’est du moins ce qu’expriment les professeurs en sociologie renommés, Hans-Jürgen Krysmanski et Georges William Domhoff. Ils ont prouvé à l’aide d’études détaillées, qu’une élite de la haute finance existe réellement aux Etats-Unis. Elle agit au-dessus du gouvernement démocratique élu.
Krysmanski écrit : « La mise en pratique de décisions politiques et stratégiques cruciales, n’est pas, comme le propage la mythologie publique, le résultat d’un processus parlementaire démocratique qui partirait en fait de l’électeur, du peuple souverain. En réalité, c’est un autre souverain qui décide. Ce sont les groupes qui possèdent le plus grand pouvoir financier ».
Amenons un peu de lumière dans les ténèbres et divisons ces groupes privés en 5 catégories permettant de classer les ONG dites de « démocratisation ».
1ère catégorie : anti-chambre, Think Tanks globalistes
2ème catégorie : financements et entraînements, les ONG de démocratisation en font partie
3ème catégorie : support rhétorique, les fondations occidentales pour les droits de l’homme en font partie
4ème catégorie : organisations internationales type ONU
5ème catégorie : front local dans la rue, ce sont les hommes de mains type « No-border»payés par Soros et disposant de cartes de visite d’avocats de la place de Paris en cas d’arrestation…
CATEGORIE 1 :
Commençons tout en haut dans la hiérarchie du pouvoir. C’est là qu’opèrent les Think Tanks, ces fabriques de pensées, ou au mieux, appelons-les des communautés de croyance. Le schéma ci-dessus mon
tre que ces Think Tanks sont des clubs privés, dans lesquels les plus puissants du monde, la pointe des plus puissantes multinationales de la planète et les personnes les plus fortunées de tous les temps, se sont associées en excluant tout public.
Dans ces temples globalistes de l’ombre, des accords importants sont conclus, sans qu’il n’y ait aucun contrôle démocratique, ni la moindre légitimation. Il est avéré que ces accords décident des grandes « orientations démocratiques » à suivre dans le monde dominé par l’Occident. Selon Krysmanski, les Think Tanks les plus puissantes du monde, agissent largement au-delà de différents gouvernements et dirigent même le président des Etats-Unis. Regardons un peu ceux qui se retrouvent dans ces clubs et retenons leur nom. Toutes ces informations sont publiques et peuvent être vérifiées…
L’institut Brookings
L’institut Brookings est considéré comme l’un des plus puissants Think Tanks du monde. Banques, assurances et financiers travaillent pour Brookings. Mais on y retrouve des groupes pétroliers, des fondations, industrie d’armement et autres multinationales…
Internation Crisis Group
Quand il s’agit de question sur la guerre, l’ICG est l’interlocuteur principal des gouvernements occidentaux et organisations internationales, comme les Nations Unies, l’UE et la banque mondiale.
Le Council on Foreign relations
C’est un groupe d’élites avec 4500 membres, fondé en 1921 à New York, par les banquiers Paul Warburg et Otto Hermann Kahn et leurs amis. Il publie le journal Foreign Affairs, qui est décrit par le Washington post, comme la bible de la pensée en politique extérieure. Banquiers, pétroliers, géants de la communication, multinationales pharmaceutiques, grands groupes d’armement, conglomérats médiatiques, lobbyistes gérant des relations publiques, industries de la consommation, etc… sont intégrés à cette structure supranationale.
Voici une sélection des membres les plus éminents de ce groupe :
David Rockefeller, Georges Soros, Mitt Romney, John McCain, George H.W Bush, Bill Clinton, Hilary Clinton, Jimmy Carter, Al Gore, Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinski, John Negroponte, chef de l’ensemble des 17 groupes des services secrets américains, Janet Yellen présidente de l’AFED, Lloyd C. Blankfein, directeur en chef de Goldman Sachs, Benjamin Sherwood, président de ABC, Rupert Murdoch, fondateur et PDG de News Corp et Fox News, Ronald Lauder président du parlement mondial juif, Robert Zoellick, président de la 11ème banque mondiale, Jeffrey Bewkes, président de TimeWarner. Il y a aussi des juges suprêmes américains, comme John Roberts, Ruth Bader Ginsburg, Stephen Breyer, des généraux et chefs des services secrets des USA. John R.Allen, le cinéaste Lawrence Bender, les stars de cinéma Angelina Jolie et George Clooney en sont membres.
Souvent les deux candidats à la présidence américaine qui se présentent comme rivaux pendant la campagne électorale, ont tous les deux un lien avec le CFR, comme Barack Obama et Mitt Romney. Pour comprendre le pouvoir énorme du CFR, on doit savoir qu’aussi bien les idées que les plans pour les projets de l’ONU, de l’OTAN, de la banque mondiale, du FMI et le plan Marshall ont été créés dans les anti-chambres de ces communautés de croyance.
Avec une telle concentration du pouvoir dans un seul club d’élites privé, le souverain, c’est-à-dire le peuple, devrait en avoir le tournis et se poser quelques questions.
La Chatham House
La Chatham House est la secte britannique, partenaire du CFR américain. Elle compte 75 multinationales et 2770 membres. Elle se trouve sous le parrainage de la reine Elisabeth II. Ses projets les plus importants sont financés et sponsorisés par la fondation Rockefeller, la fondation Bill et Melinda Gates, la fondation Konrad Adenauer, l’OTAN et l’UE. Les journaux publiés par la Chatham House, International Affairs et The World Today comptent parmi les principaux organes spécialisés de la politique internationale. Elle se compose de banquiers, pétroliers, industries de la consommation, fondations, géants de la communication, multinationales pharmaceutiques et agroalimentaires.
La Chatham House ne brille pas par sa transparence. La règle de la Chatham House est une clause de confidentialité qui stipule que les participants à des réunions internes n’ont le droit de r
évéler ni nom, ni identité.
La catégorie 1 constitue le noyau d’une puissance politique transnationale, c’est le cœur d’un système d’influence mondial des élites de l’argent et du pouvoir. Leurs orientations doivent être directement appliquées par les hommes politiques élus des « dites démocraties ». S’ils n’obtempèrent pas, ils s’exposent à une révolution colorée qui sera mise en œuvre par les ONG de la catégorie 2 en charge de faire appliquer les directives aux plus récalcitrants. La catégorie 5 s’occupera ensuite du coup de feu sur le terrain…
CATEGORIE 2
Open Society Foundations
Il s’agit de l’union d’ONG sous le patronat de George Soros (nom de naissance György Schwartz). Déjà en 2003, ces ONG ont organisé et surveillé la révolution des Roses Georgiennes qui a mené à la passation de pouvoir au favori américain Saaka-schwili Micheil.
La révolution orange en 2004 en Ukraine, a également été financée par les fondations de Soros. Déjà en 2011, la chaîne de télévision russe RT, mettait en garde, contre le fait que Soros, selon le modèle du scénario lybien, finançait un putsch imminent en Ukraine, ce qui a eu lieu en 2014 avec l’Euromaidan.
Ces fondations préparent le terrain, de toutes les manières imaginables pour les agitations futures dans différents pays. Il a été récemment dévoilé, qu’elles payaient 1500 $ par mois des étudiants macédoniens pour renverser des gouvernements.
Le National Endowment for Democracy, le NED
Dans plus de 90 pays, le NED soutient plus de 1000 projets avec de prétendus buts démocratiques. On trouve sa signature dans presque toutes les chutes récentes de gouvernements. Les élites du NED sont truffées de membres du CFR et des représentants de très grandes multinationales qui sont aussi présents dans d’autres Think Tanks.
Le fondateur du NED, Allen Weinstein, le dit clairement : « une bonne partie de ce que nous faisons aujourd’hui, était fait en secret par la CIA il y a 25 ans. » Même le New York Times reconnaît dans un article que le NED a orchestré le printemps arabe de manière déterminante.
Movements.org
C’est une ONG de démocratisation spécialisée dans les émeutes de jeunes, qui a par exemple construit les mouvements égyptiens de la jeunesse du 6 avril, en faisant d’un petit groupe facebook insignifiant, le mouvement dirigeant de la révolution égyptienne en 2011. Elle est financée par le même conglomérat de multinationales qui est aussi représenté dans les Think Tanks les plus élevés, comme par exemple Google, Facebook, CBC news, MSNBC, Pepsi etc…
Movements.org est aussi directement relié au ministère des affaires étrangères américain.
La Foundation Ford, OAK Foundation, Sigrid Rausing Trust, Foundation Rockefeller de la catégorie 2, financent et entraînent le front local dans la rue, représenté par la catégorie 5. Cette dernière se compose de petits groupes contestataires violents, qui selon les besoins, sont érigés en héros médiatiques de la liberté et de la démocratie.
CATEGORIE 5
L’organisation Otnop en Serbie, a mis en scène la chute du gouvernement serbe en 2000.
L’organisation Canvas qui remplace l’organisation Otnop financée par les Etats-Unis, soutient, jusqu’à aujourd’hui, ce qu’on appelle les révolutions de couleur dans le monde entier.
Open Ukraine, ONG ukrainienne, autrefois insignifiante de l’ex-premier ministre Arsenij Jazenjuk a participé de manière déterminante à la chute du gouvernement ukrainien. Elle a été financée directement par le NED et la Chatham House.
Il existe d’autres ONG exécutantes locales : Free Malaysia Today, Prachatai, Pussy Riot, Open Russia, Demokratische Alternative DA, Arab Commission for Human Rights, Bahrain Centre for Human Rights, Entsar Qadhi, The Young for the Révolution Fureur, Entsar Qadhi, etc…
CATEGORIE 3
Les fronts locaux dans la rue sont vigoureusement soutenus dans leurs agissements par la section pour la rhétorique, qui les canonise, leur confère les décorations nécessaires ou dirige l’hystérie médiatique dans la direction souhaitée. Dans cette catégorie on retrouve les ONG suivantes :
Human Rights Watch, ONG également financée par George Soros. En mai 2014, plus de 100 universitaires du monde entier, ont critiqué dans une lettre ouverte la collusion de Human Rights Watch avec la CIA et le haut cercle du gouvernement américain et de leurs hommes de main.
Médecins sans frontières
La crise humanitaire exagérée par MSF, qui a été le motif du bombardement de l’OTAN sur Belgrade dans le conflit au Kosovo, n’a jamais pu être authentifiée lors d’une enquête ultérieure. Mais depuis, les USA ont construit une énorme base militaire au Kosovo.
AMNESTY INTERNATIONAL
Un ancien membre du conseil d’administration d’AMNESTY USA, le Professeur Francis Boyle, a mis en garde contre le fait qu’AMNESTY INTERNATIONAL et AMNESTY USA sont des outils impérialistes. En décembre 1990 par exemple, AMNESTY INTERNATIONAL a publié ce qu’on appelle le mensonge des couveuses, qui a légitimé la première guerre d’Irak.
REPORTER SANS FRONTIERE
C’est une ONG également financée par le NED, SOROS etc… Elle oriente ses critiques en fonction de la liste noire des affaires du ministère des affaires étrangères américains. Les américains eux-mêmes et leurs alliés ne doivent pas craindre de critique fondamentale. Ainsi par exemple, l’assassinat en avril 1999 de 16 membres du personnel de la station de télévision yougoslave RTS par une attaque de l’OTAN, n’a même pas été mentionné dans le rapport annuel de REPORTER SANS FRONTIERE.
Tout cet ensemble pyramidal fonctionne comme un système organique parfaitement rôdé en marge de tout débat démocratique. Il impose sa politique, ses guerres, ses révolutions, son modèle socio-économique, son idéologie, sa religion ou anti-réligion au-dessus des Etats et des peuples. Via ses Think Tank, il présélectionne le personnel politique qui sera présenté aux peuples dans des élections spectacles pour truffes…
Extraits de l’excellente chaîne allemande « kla.tv », pour visionner toute l’émission : www.klagemauer.tv