Il y a deux écologies :
- L’écologie politique qui rejoint l’économie bancaire via Goldman Sachs, l’État servant de pompe à fric vers les banques.
- L’écologie scientifique inconnue du grand public qui ne vise que l’intérêt commun et qui donc n’a aucun écho faute de support bancaire, financier et politique en général…
Un préalable est essentiel à la compréhension des manipulations de l’écologie depuis la taxe carbone. En 2004, financé par Goldman Sachs, Al Gore lance un faux débat sur le réchauffement climatique. Il affirme que le carbone est un gaz à effet de serre et dramatise. Tout cela est une contre-vérité scientifique, mais le but visé est de lever une taxe à l’échelle mondiale qui dans une large mesure finira dans les poches de Goldman Sachs. Pourquoi Al Gore fait-il cela ? Alors qu’il avait gagné les élections, il accepte en 2000 de laisser la Présidence à G.W. Bush. Il sera mis sous la pression de Bush senior ancien directeur de la CIA, ancien président et surtout conseiller du groupe d’armement Carlyle qui fournira au Pentagone le matériel pour la future « guerre au terrorisme ». Al Gore se range donc et il en sera remercié. Il se chargera de promouvoir une nouvelle taxe bidon, mettant en place un marché carbone mondial et surtout deviendra avec Goldman Sachs le principal actionnaire des entreprises chargées de fabriquer les mesures de contrôle. En clair, à défaut de devenir président des États-Unis, il est assuré de devenir milliardaire. Cette gigantesque supercherie n’échappera pas au New York Times qui appellera Al Gore le « milliardaire de la taxe carbone ». Mais derrière cette taxe et toutes les contre-vérités scientifiques émises par de pseudo scientifiques, il y a la puissance financière Goldman Sachs.
Le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’évolution du Climat) sortira des rapports de plus en plus absurdes pour accréditer l’idée d’un réchauffement du climat lié à l’activité carbone humaine. Là encore, il faut y voir la main de Goldman Sachs qui offre des crédits pour les experts véreux et bloque tout financement des experts authentiquement scientifiques. La mayonnaise finit par prendre auprès du public car l’ONU, noyautée de l’intérieur, est mise à contribution. L’écologie devient synonyme de taxe. L’ingénierie sociale consistait à faire en sorte que ce soit les citoyens qui demandent eux-mêmes des taxes. Dans un contexte d’appauvrissement généralisé, l’opération est une réussite. Un bon écologiste est un citoyen qui veut être taxé, celui qui refuse est un trublion fasciste, égoïste !
Les grands groupes pollueurs ne paieront jamais cette taxe. Le jeu consiste à les taxer mais les États les subventionneront à hauteur de ce qu’ils ont à payer. Ainsi la taxe carbone est payée dès le départ par les contribuables. On élargira ensuite l’application de cette taxe aux citoyens, afin qu’ils paient deux fois, via l’impôt et via leur consommation personnelle. Les augmentations outrancières du fuel et de l’essence en France sont le résultat de ces entourloupes mondialistes.
À ceux qui croient encore à la fable du réchauffement climatique lié au carbone, il faut opposer deux arguments majeurs :
- Vers l’an mille le Groenland était à moitié couvert par des cultures de céréales, il faisait donc plus chaud qu’aujourd’hui.
- Notre activité solaire diminuant, les vrais climatologues affirment que l’on s’oriente vers un mini âge glaciaire de quelques décennies à partir de 2021. Or, aucun gouvernement européen ne nous y prépare.
Des solutions gouvernementales farfelues
Le tout électrique est aberrant. Toute batterie au lithium se transforme en acide chlorhydrique au bout de 5 à 6 ans d’utilisation. Où est l’avantage écologique d’avoir des millions de tonnes d’acide chlorhydrique à gérer pour la prochaine génération ? Où est l’avantage écologique de devoir ravager des millions de kilomètres carrés de terre pour extraire du lithium ou des terres rares ?
Une situation énergétique ubuesque
Macron vend nos barrages hydroélectriques rentables à des sociétés privées. Ces dernières tripleront le prix de l’électricité rapidement pour rémunérer l’actionnariat. Il veut stopper 14 centrales nucléaires sans aucune solution viable pour remplacer cette production électrique. Ainsi, le prix de l’électricité en France pourrait décupler. Avec une voiture électrique rechargeable à domicile, attendez-vous à devoir payer des factures EDF de 2 à 3 000 € par mois. Les lobbies privés de l’énergie électrique s’en frottent les mains d’avance. Il existe des milliers de solutions énergétiques, mais en marge des intérêts lobbyistes, elles ne sont jamais retenues.
publié dans Morphéus n° 91,
janvier 2019.