Les no-borders sont ces hordes anarchistes, anticapitalistes, antinationalistes qui protègent, accompagnent les migrants et souvent agressent les forces de l’ordre et les autochtones en les traitant de racistes ou fascistes. Une question demeure : Qui finance ces no-borders ?

L’action no-border à Calais est organisée et coordonnée par une officine nommée Calais Migrant Solidarity. Cette officine se veut une métastase de United for Intercultural Action, un « Réseau européen contre le nationalisme, le racisme, le fascisme et pour soutenir les migrants et réfugiés » (sic).

Mais qui finance ce courageux réseau ? « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »,dit le bon sens populaire…

La réponse se trouve sur le site même de United for Intercultural Action. Nous trouvons parmi les généreux « donateurs » des no-borders, les organismes suivant :

La Commission européenne, le Conseil de l’Europe, le Conseil œcuménique des Églises, la Rothschild Foundation, le Jewish Humanitarian Fund, l’Open Society de Georges Soros, L’OSCE, le patronat et le gouvernement fédéral allemand (Foundation Remembrance, EVZ), le Home Office Britannique, le tout sous coupe et directives des Bilderberg…

Vous avez bien lu, les « No Borders », ces rebelles, ces anarchistes, ces radicaux, ces ultra-gauches… sont financés principalement par l’Union Européenne et le milliardaire Soros, avec l’appui de la fondation Rothschild ! Plus cocasse encore, le Home Office britannique, c’est-à-dire le département censé lutter contre l’immigration illégale, fait partie des principaux soutiens désintéressés !

Nous voyons donc :

Un gouvernement britannique refusant officiellement l’immigration des migrants, mais soutenant discrètement ceux qui la mettent en œuvre.

Un gouvernement français envoyant ses CRS dans la « Jungle », mais finançant une Union européenne qui rémunère ouvertement les milices qui les agressent.

Les Calaisiens subissent les violences des migrants et des no border, mais financent avec leurs impôts ceux qui instrumentalisent ces violences. Cette situation est la même dans toute l’Europe.

Les no-borders se disent anarchistes et anticapitalistes, mais font avec empressement un travail de larbins au service du Grand Capital. Ce même Grand Capital qui finance les hordes nazies en Ukraine montées contre Poutine et les hordes jihadistes de l’État Islamique montées contre Bashar Al Assad.

Ménageant notre exaspération, « nos » élus font du théâtre à la télé pour nous rassurer, pour faire durer : le temps travaille pour leurs maîtres. Nos dirigeants hypocrites jouent un double jeu dont la finalité est bien la « société ouverte » voulue par Soros, les no-borders, la Commission européenne, le tout chapeauté par les Bilderbergs…

Déplacer 1 million de personnes vers l’Europe, coûte environ 1 milliard d’euros. L’intendance et les organisations intra-européennes de soutien aux migrants coûtent des milliards. Ce ne sont pas quelques organisations caritatives qui peuvent financer de telles opérations. Il s’agit donc bien d’une opération liée à de puissants réseaux bancaires au service d’une idéologie visant à diviser pour mieux régner.

www.autochtonisme.com, janvier 2016