Emmanuel Macron, en juillet 2015, dans une interview à la revue ‘Le 1’, confia :
« La démocratie comporte toujours une forme d’incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même. Dans la politique française, ce grand absent est la figure du ROI, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. …On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures. Ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. »
Rappelons que le nouveau président Macron règne avec moins de 20 % d’opinions favorables des Français. Il entend imposer la verticalité du pouvoir et sans doute une sorte de royauté gnostique de Loge. L’homme se prend pour un monarque en réinvestissant Versailles.
Il a reçu Vladimir Poutine au palais de Versailles le 29 mai 2017. Dans le cadre de sa conférence de presse qui devait porter sur la politique internationale, à la surprise générale, dès l’ouverture, il s’est fait le défenseur des homosexuels. Dans l’esprit de l’homme, une des clés majeures de la géopolitique mondiale serait-elle l’homosexualité ?
Cette question mérite d’être prise au sérieux. Si l’homosexualité est un épiphénomène sociétal communément admis, en revanche elle a constitué tout autre chose quand des Etats ou des Empires en ont fait la promotion ouvertement ou secrètement. On sait par exemple que l’armée US fait la promotion de l’homosexualité dans ses rangs. S’inspirant des armées spartiates, l’Empire Romain constitua des troupes d’élites formées de couples homosexuels. Plus violentes, sans empathie pour tout ce qui touche la famille, les femmes et les enfants, elles firent des ravages parmi les populations ennemies. Plus proche de nous, un des volets secrets de la seconde guerre mondiale, révèle que les troupes d’élite SS étaient essentiellement composés de couples homosexuels. On sait de quelles abominations ils se rendirent coupables contrairement à la Wehrmacht.
Alors géopolitique et homosexualité font-elles bon ménage ?