Pour créer une crise majeure qui touche simultanément tous les pays du monde, il fallait mettre en œuvre une mondialisation sauvage rendant toutes les économies interdépendantes, tout en instaurant des monopoles dans tous les domaines, agriculture, médecine, industrie, énergie… Pour fragiliser les économies nationales, il fallait bloquer toute création monétaire des états, en leur imposant d’avoir recours à des banques privées en payant de lourds intérêts. Enfin, dernière condition pour s’assurer un grand crash économique, il était essentiel de créer une croissance artificielle des marchés fondée sur de l’argent-dette fictif, jusqu’à 50 000 milliards de titres bidons (ex : les CDS Credit Default Swaps) pendant une stagnation — voire une profonde régression — du pouvoir d’achat des citoyens. La bulle spéculative artificielle grossissant en marge de l’économie réelle assurait les conditions fatales d’une crise touchant absolument tous les pays du monde. Toutes les conditions étant réunies, la crise permet d’absorber à vil prix toutes les petites banques, de forcer des fusions bancaires à l’échelle mondiale, d’asseoir les monopoles mondiaux, de mettre à genoux les finances des états-nation, et de spolier tous les biens et ressources de l’économie réelle, y compris les biens de simples citoyens. Sur le désert économique engendré par cette crise, il suffit ensuite à monsieur Rockefeller et Consort de se présenter en sauveur en recourant à un Ordre Bancaire Mondialisé Privé possédant grâce à cette crise les richesses et toutes les ressources planétaires. Cette position lui permettrait d’imposer de manière dictatoriale, sans aucun contre pouvoir, des mesures aussi folles que l’implantation de bio-puces humaines offrant de l’argent électronique aux citoyens qui voudront avoir accès aux biens matériels et surtout à la nourriture terrestre. Nous assistons à la plus insolente spoliation terrestre que l’humanité ait jamais connue, celle des banksters ! Dans l’histoire de notre civilisation, Hitler même apparaîtra comme un doux agneau comparé aux banksters !
Un peu d’histoire
Depuis 1973 et en application depuis 1974, puis entériné par l’article 104 du traité de Maastricht et finalement transposé dans l’article 123 du traité de Lisbonne, l’état a supprimé le recours à l’émission de bons du trésor (emprunt d’état, exempt d’intérêts) puis s’est interdit toute création monétaire en interdisant tout recours à l’emprunt auprès de sa banque centrale à travers le traité européen et ceci pour tous les états européens. Cet état de fait, malicieusement déguisé, rend tout investissement « hors de prix ». Ainsi, nous sommes assis sur une montage de dettes artificielles dont les conséquences sont dramatiques : diminution générale du pouvoir d’achat, extension de la pauvreté et misère absolue pour une majeure partie de la population terrestre. Comment peut-on perdre à ce point le plus élémentaire bon sens pour vouloir légitimer le fait qu’un état paye un intérêt à un système bancaire privé pour l’usage de sa propre monnaie, qu’il pourrait émettre lui-même, sans intérêt ?
La réponse semblerait se situer dans le fait que bon nombre de haut fonctionnaires, ministres ou anciens ministres siègent ou ont siégé au conseil d’administration de banques privées. Nous voilà dans un esclavagisme moderne grâce à la haute trahison de nos élus qui cherchent désespérément des solutions « pansements » aux conséquences du seul problème qu’ils ont eux-même instauré par décret dans le plus grand silence et sans la moindre concertation. Ils ont vendu tous nos biens, nos propriétés, nos corps et ceux de nos enfants à des banquiers privés.
La dette publique française : 1 330 milliards d’euros !
Ici et maintenant ! Au nom du peuple souverain et sous la protection de l’article 10 du deuxième Traité de la Convention de Berne, l’article 10 de la Convention Européenne des droits de l’homme et l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, défendant le droit de tous à l’information et le droit à la liberté d’expression et d’opinion.
Nous déclarons, par le peuple et pour le peuple, que c’est le peuple qui produit tous les biens et services mis sur le marché. C’est donc le peuple qui fait la valeur de la monnaie. Celle-ci n’apparaît pas spontanément dans la nature, comme les biens et services, elle est la création de l’homme. Le droit à la création de la monnaie appartient donc au peuple puisqu’il en fait la valeur.
Nous refusons de travailler pour quelque chose qui n’existe pas et encore moins pour quelque chose qui nous asservit.
Tant que l’article 104 du Traité de Maastricht, transposé dans l’article 123 du Traité de Lisbonne restera en vigueur, l’Europe restera une arnaque des Banksters.
L’ensemble des politiciens français et européens se chamaillent pour des questions sans importance.
Il n’y a pas un seul problème en Europe et dans le monde qui ne soit pas lié à l’utilisation de l’argent-dette.
La dette nationale est un canular inventé par décret et en application par une loi.
Nous jouons au JEU DU COMMERCE dans un monde commercial fictif où l’argent est fictif, les sociétés – et ceci inclut votre N.O.M. en lettres majuscules – sont fictives, ce sont toutes des fictions crées par le gouvernement qui est lui-même une entité fictive dont le seul but est de récolter l’intérêt fictif d’une dette fictive qui ne pourra jamais être payé et ceci pour le compte d’une poignée d’individus privés.
Sans souveraineté monétaire, pas de démocratie !
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restitué au gouvernement et reconnu comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… « L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation ». William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada.
De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer cette escroquerie, parmi elles des grands noms de la science économique comme Milton Friedman, Irvin Fisher et Maurice Allais, prix Nobel d’économie.
Déjà, Abraham Lincoln l’affirmait : « Le gouvernement doit créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseront d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité ».
Sources : FauxMonnayeurs.org
www.bankster.tv