Des journalistes de médias mainstream ont participé à Bilderberg, mais n’en ont pas parlé. Voici ci-dessous la liste des personnalités françaises qui ont participé au Bilderberg de juin 2015 :
- Alain Juppé, maire de Bordeaux, candidat à la primaire de la droite (le groupe Bilderberg avait invité François Baroin en 2014, François Fillon et Valérie Pécresse en 2013).
- Laurence Boone, la conseillère économique du président français François Hollande (l’an dernier, le gouvernement était représenté par Emmanuel Macron et Fleur Pellerin).
- Patrick Calvar, directeur de la sécurité intérieure (DGSI).
- Jean-Dominique Sénard, patron de Michelin.
- Nicolas Baverez, essayiste (présent aussi en 2012, 2013 et 2014).
- Laurent Bigorgne, directeur de l’Institut Montaigne, think-tank libéral.
- Gilles Kepel, universitaire spécialiste du monde arabe.
- Catherine Pégard, ancienne rédactrice en chef du Point, ancienne conseillère de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, désormais présidente du château de Versailles.
Interrogé sur cette réunion Alain Juppé a expliqué qu’ils ont parlé de « robots avec des émotions » mais qu’aucune décision n’a été prise lors de ce sommet. Monsieur Juppé est-il dans une phase d’expression mono-neuronale ou nous prend-il vraiment pour des truffes ? Où en sont les avancées technologiques relatives au contrôle de nos neurotransmetteurs, monsieur Juppé ? S’il est un élu, futur présidentiable, qu’il ait au moins l’amabilité de nous dire dans quelles mains se trouvera la télécommande de la Présidence.
En vertu de l’article 15 de notre Constitution, la Société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. Ces gens sont payés avec l’argent public, ils doivent donc rendre compte des thématiques et orientations évoquées à cette réunion Bilderberg. A défaut, il serait fair-play de leur part de quitter leurs fonctions publiques sur le champ. A moins que notre Constitution n’ait été abrogée en secret, respectant ainsi les vœux de la JP Morgan de voir détruit tout droit démocratique en Europe ? Si c’est le cas, il serait bon d’en informer les citoyens qui se feront alors une joie de forger une nouvelle Constitution soumise à référendum d’initiative populaire.
Qu’ils soient de gauche ou de droite, ils vous offrent toujours la même rhétorique : « Le Bilderberg n’est pas une société secrète qui complote. Ce sont des gens normaux agacés par les médias et internet qui veulent juste discuter sans avoir peur d’être cités » en gros. Cependant, il a été prouvé maintes et maintes fois que quiconque participe à cette réunion se retrouve en position de prendre le pouvoir par la suite. Il suffit d’éplucher la liste des invités de chaque année et de faire des croisements pour s’en rendre compte.
Alain Juppé dit dans la vidéo d’Agence Info Libre en date du 24 juin 2015, qu’il y a un tas de représentants élus démocratiquement qui se sont retrouvés en Autriche pour participer à la conférence Bilderberg de 2015. Il a oublié de préciser que leurs titres de représentants élus par le peuple n’existent pas à cette réunion. C’est à dire que ces individus qui « ne prennent pas de décisions » sont de simples individus qui parlent de ‘robots avec des émotions’ ou de fin du monde apocalyptique où l’humanité serait au service des robots. C’est mignon, on croirait qu’ils tirent leurs infos du web. Mais la réalité est différente.
Il a oublié de dire que le groupe Bilderberg a été fondé par un Nazi et perpétue l’idéologie nazie. Il a oublié de vous dire que l’Euro était une idée du groupe Bilderberg. Il n’a pas parlé de la Grèce et de cette dette assommante liée à l’idéologie européiste. Les pan-européens ne lâcheront jamais leur rêve d’anéantir les cultures et peuples Européens pour créer les États-Unis d’Europe. Il a oublié de mentionner que le Nationalisme est un danger selon le Bilderberg. Rappelons que le criminel de guerre Kissinger y a participé tous les ans et que l’une des directrices de Google voulait créer des « jetons d’identification que l’on peut avaler » pour accéder à notre identité, sur une base quotidienne, grâce à une petite puce électronique. Il a oublié de vous dire un tas de choses…
Il donne l’impression que l’ambiance est bon enfant, que ça mange des petits fours, que ça boit des cocktails et que ça papote le plus librement qui soit, mais… pourquoi dans ce cas avoir embauché plus de 2 000 policiers et installé tout cet équipement de brouillage de communications high-tech ? Pourquoi avoir interdit de survoler l’hôtel ? Pourquoi les contribuables autrichiens ont payé pour la protection d’un lieu où des représentants démocratiquement élus n’ont pas le droit d’exercer leurs fonctions ?