Beaucoup d’énigmes relatives à la catastrophe de Tchernobyl demeurent inexpliquées et inexplicables. Le Professeur Georges Lochak président de la Fondation Louis de Broglie (Paris) en aborde certaines :
Un couvercle de 2 000 tonnes éjecté
Professeur Georges Lochak : « … Mon ami Urutskoïev m’a justement confié qu’il ne savait pas quelle force avait propulsé le couvercle du réacteur dénommé Elena — pesant près de 2 000 tonnes — et l’avait fait retomber sur le côté. Il n’y a aucune explication raisonnable à cela, et ceux qui prétendent en avoir une s’abusent. Certes, il y a eu des affirmations dans la presse scientifique selon lesquelles il s’agissait probablement d’une pression de vapeur. Mais cela est parfaitement stupide ! Si la pression de vapeur avait été suffisante pour soulever un couvercle de ce poids, les parois du réacteur auraient certainement explosé, ce qui n’a pas été le cas. Les parois du réacteur n’ont même pas été déformées.* »
Un différentiel temporel énigmatique
Professeur Georges Lochak : « Tout le monde est d’accord pour dire que l’explosion dans la salle des machines a précédé celle du réacteur. Mais il y a un petit ennui. Tous les gens qui étaient sur place ont estimé que l’intervalle de temps entre le bruit des deux explosions était de l’ordre de trois secondes. Cependant, les deux explosions ont été entendues à des kilomètres à la ronde. Et les témoins qui étaient loin ont affirmé que l’intervalle entre les deux était de l’ordre de trente secondes. C’est quand même une sacrée différence ! On peut se tromper de deux ou trois secondes, mais de trente, non !* »
90 % du combustible nucléaire disparu et 10 tonnes d’aluminium autour du réacteur
Professeur Georges Lochak : « Ensuite, d’après les mesures du magma figé en bas du réacteur, le groupe d’Urutskoïev a estimé qu’il n’y était resté, après l’explosion, que 10 à 20 % du combustible nucléaire. Où donc était passée la plus grande partie du combustible ? Tout n’a pas pu être emporté par le « nuage de Tchernobyl ». En même temps, ce que l’on sait, même si cela n’a jamais été dévoilé au grand jour, c’est que des transmutations se sont produites au sein du réacteur au moment de l’accident. Par exemple, on a trouvé, autour du réacteur, une dizaine de tonnes d’aluminium, métal qui est totalement étranger à la construction d’un réacteur…* »
Des ovnis au-dessus de Tchernobyl
L’explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl dans l’ex-union soviétique, le 26 avril 1986, a provoqué l’émission de tonnes de matières radioactives dans l’atmosphère. Cette explosion, de grande ampleur, n’a par bonheur été qu’une explosion thermique. Il n’y a pas eu d’explosion nucléaire. Le réacteur détruit recelait 180 tonnes d’uranium enrichi. Si une explosion nucléaire s’était produite, les conséquences auraient été bien plus catastrophiques.
Beaucoup de théories circulent pour expliquer une telle chance. L’une d’entre elles explique qu’il y aurait eu une aide de la part d’un ovni. Lorsque la catastrophe s’est déclenchée, des témoins ont vu un vaisseau spatial planer au-dessus du quatrième réacteur de la centrale nucléaire. Des centaines de personnes ont aperçu l’objet y stationner pendant six heures.
Voici le témoignage de Mikaïl Varitsky : « Nous avons vu une boule de feu de six à huit mètres de diamètre qui évoluait lentement dans le ciel. Lorsqu’elle fut à quelques mètres du quatrième réacteur, deux rayons de lumière pourpre s’allongèrent vers le réacteur. Tout ceci dura environ trois minutes. Ensuite, les lumières de l’objet s’éteignirent et il s’éloigna en direction nord-ouest. » Par la suite, le niveau des réacteurs a décru jusqu’à être quatre fois moins puissant, ce qui a probablement évité l’explosion nucléaire.** »
Hypothèse d’une exo-intervention pour changer la nature de la catastrophe
Il n’y a pas d’explication plausible pour comprendre comment un couvercle de 2 000 tonnes a pu être éjecté. Il peut s’agir de l’utilisation d’une force antigravitationnelle non connue de ces scientifiques. Cette dernière jouant sur l’espace temps localement, a généré un différentiel temporel d’environ 27 secondes, ce qui pourrait expliquer la différence de temps perçu à l’intérieur de la centrale et à l’extérieur de la centrale. Enfin, la disparition de 90 % du combustible nucléaire et la découverte de 10 tonnes d’aluminium inoffensif ne peuvent être fortuites. Les tentatives d’explication à ce propos ne sont pas plausibles. Il s’agit bien d’une transmutation contrôlée bloquant toute possibilité d’explosion nucléaire. Par ailleurs, les témoignages relatifs à des rayons de lumière pourpre dirigés sur le réacteur en question sont associés à des photos sans équivoque.
Pour avoir interviewé des membres de l’armée américaine en charge de missiles balistiques nucléaires, nous avons été informés de la neutralisation de nombreuses ogives nucléaires par des ovnis. Il y a fort à parier que dans certains cas, les charges d’uranium ont été transmutées et que des résidus d’aluminium ont été retrouvés. Les armées US, russe, française et israélienne n’ont jamais souhaité communiquer à ce sujet.
En ce qui concerne Fukushima, s’il s’avère que des dizaines de tonnes d’aluminium sont retrouvés autour des réacteurs, n’aurions nous pas la preuve que ces transmutations n’ont rien de fortuit ?
* « Les Silences de Tchernobyl : l’avenir contaminé » aux Editions Autrement Mars 2006 pp 7-8.
** Pravda, Russie.