Les informations ci-dessous sont issues d’une récente interview de Karen Kington aux États-Unis. Depuis cet été, cette scientifique de renom travaillant pour Big Pharma, a dû fuir avec son fils au Mexique pour ne pas être éliminée par les barbouzes de l’industrie pharmaceutique, le FBI et la CIA. Ses révélations sont fondamentales pour répondre aux questions relatives à la folle politique covid et l’émergence de la biologie synthétique qui en est un corollaire.
L’objectif des globalistes
Nous avons eu deux grandes révolutions, celle de l’informatique (infotechnologie) et celle des sciences biologiques. Elles sont encore séparées, mais elles sont sur le point de fusionner. Leur fusion consiste en une modification génético-bio-informatique programmable de l’humain. L’idée phare des globalistes est de voir tout individu piloté par les algorithmes du réseau et l’intelligence artificielle. Plus besoin de Dieu, de Pape, de gouvernements, d’élections démocratiques ou de groupes humains, toutes les décisions importantes seront prises par l’intelligence artificielle, le technodieu des globalistes. Les injections covid-19 ont été une expérimentation mondiale de tests de modification du génome humain et d’essais d’armes nanobiologiques. Ces tests dangereux souvent mortels auraient concerné 5 à 7 % des lots de « vaccins » mis sur le marché mondial selon le professeur Mc Cullough.
Karen Kingstone :
« Je pense qu’il est important de comprendre que la biologie synthétique ou la biotechnologie consiste à prendre la biologie et à la transformer en technologie, ou à fabriquer une technologie qui imite la biologie. J’ai plus de 25 ans d’expérience dans les secteurs pharmaceutique, médical et biotechnologique, en tant que conseillère médicale et analyste biotechnologique. Mes clients m’engagent essentiellement pour lire des informations scientifiques très complexes. Les dossiers de la FDA et même leurs brevets, afin que je puisse simplifier ces informations pour qu’elles soient comprises par les membres du Conseil d’administration… J’étudie également les brevets. Il y a beaucoup d’informations dans les brevets qui ne sont généralement pas divulguées. Or, lorsque j’ai lu les brevets des vaccins issus de la technologie ARNm, j’ai été très choquée parce qu’ils ne se présentaient pas comme des vaccins. Ils sont conçus comme une arme biologique ».
Le marketing trompeur de Big Pharma
Karen Kingstone : « Dans l’industrie du marketing médical, des experts se consacrent à ce que l’on appelle la nomenclature, qui consiste à inventer des mots ou à en modifier la définition pour qu’ils soient mieux perçus par le public médical et les consommateurs. Or, l’ARNm est un terme erroné. Le terme vaccin ARNm est un leurre. L’objectif est de manipuler les gens en leur faisant croire qu’on leur injecte quelque chose de nature biologique renforçant leur système immunitaire. Ce n’est tout simplement pas vrai. L’objectif était de modifier génétiquement l’espèce humaine pour créer, comme les appelle Elon Musk, de nouveaux humanoïdes. Il s’agit de fusionner nanotechnologies et biologie humaine ».
DARPA : la fusion homme-machine
Annie Jacobsen : « La DARPA parle de transhumanisme civil et militaire. Cela fait partie intégrante du mouvement vers la biorobotique. Il ne s’agit pas seulement de mettre les combattants à l’aise avec les robots, il s’agit à terme de fusionner l’homme et la machine. C’est ce que fait la DARPA avec des programmes portant sur ce qu’elle appelle des biohybrides, que l’on pourrait qualifier de cyborgs ».
Qu’est-ce que le covid-19 ?
Karen Kingstone : « Les gens me demandent souvent : pensez-vous que le covid-19 n’a pas existé ? Le covid-19 a bel et bien existé. Il y a eu une pandémie, mais la cause du covid-19 n’était pas un virus. Il s’agit d’une technologie de nanoparticules lipidiques, qui détourne le système immunitaire humain, ainsi que notre système neurologique, provoquant des maladies légères à modérées, ou des maladies graves. Ce qu’ils appelaient « spike proteins » étaient en fait des nanoparticules lipidiques. Lorsque vous prenez un hydrogel magnétique, qui figure également dans les brevets, et que vous infectez une cellule biologique, vous pouvez voir que cette cellule est recouverte de toutes ces petites pointes. Il s’agit de la protéine spike. Vous n’êtes pas infecté par le virus, vous êtes infecté par la technologie des nanoparticules lipidiques, qui reprogramme cette cellule, pour qu’elle émette ces toxines biosynthétiques dans votre corps. C’est ce qui a causé le covid-19.
Or, James Giordano, qui a commencé à conseiller l’Armée américaine et la communauté du renseignement en 2008, sous l’administration Obama, a exposé l’utilisation de la technologie des nanoparticules lipidiques, en tant qu’armes neurologiques ».
West Point Military Academy (New York)
James Giordano : « Nous pouvons fabriquer des matériaux dotés de propriétés discrètes, qui peuvent être contrôlées grâce à la bio-ingénierie et à la physico-chimie, pour s’autoagréger, pour s’agréger dans des zones particulières en fonction de leur sensibilité biologique ou chimique.
Mais aujourd’hui, nous allons plus loin. Tout récemment, il y a quelques semaines, il a été annoncé qu’il était possible d’aérosoliser des nanomatériaux et d’aller encore plus loin. Je peux créer de petites unités robotiques, des unités robotiques contrôlables à l’échelle nanométrique, et les aérosoliser. Je peux créer un nano-essaim de matériaux biopénétrables que vous ne pouvez pas voir, et qui peuvent pénétrer les filtres biochimiques les plus robustes. Ils sont absorbés par le système vasculaire, se diffusent dans l’espace cérébral et peuvent être utilisées comme armes. Leur présence est presque indétectable. Ainsi, il devient extrêmement difficile de démontrer l’attribution d’une arme ».
Nano-essaims aérosolisés
Karen Kingstone : « Cette nanotechnologie a été relâchée dans des zones ciblées, notamment dans une maison de retraite du comté de Kings, dans l’État de Washington. New York, la Lombardie, en Italie, et puis bien sûr Wuhan ont été ciblés. C’est ainsi qu’ils ont déclenché « la pandémie ». En faisant croire qu’il s’agissait d’un virus hautement contagieux, ils ont poussé les gens à réclamer un vaccin. Les lots d’injections étaient prêts bien avant la pandémie et ils purent ainsi être utilisés pour procéder à des tests de modification du génome humain à l’échelle mondiale ».
Extraits Morphéus n° 119, sept.-oct. 2023