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La « guerre contre le terrorisme » est une ruse des banquiers centraux pour contrôler chaque aspect de votre vie.

En relisant The Red Symphony (la symphonie rouge) récemment, j’ai été choqué de lire l’affirmation d’un initié que les banquiers ne sont pas satisfaits avec une richesse infinie, ils veulent aussi un pouvoir illimité.

The Red Symphony est un interrogatoire de la police secrète staliniste (NKVD) de 1938 de Christian Rakovsky, un ambassadeur russe qui était un proche associé de Léon Trotsky, un agent des Rothschild.

Ce document explosif de 50 pages lève le voile de l’histoire moderne et explique la vraie signification de la révolution, du communisme, de la haute maçonnerie et de la guerre. Il n’était pas censé entrer dans le domaine public. Le traducteur, le docteur J. Landowsky, fit une copie non autorisée.

L’expérimentation humaine est mise en danger par des intérêts privés qui ont usurpé la fonction de création monétaire. L’histoire moderne reflète le processus progressif par lequel ils transfèrent toute la richesse et la puissance vers eux-mêmes, en détruisant la civilisation occidentale et créant un état policier mondial.

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Rakovsky, dont le vrai nom était Chaim Rakover, fut condamné à mort dans la purge stalinienne de la faction trotskyste du parti. Léon Trotsky écrivit dans son autobiographie, My Life : « Christian G. Rakovsky… joua une part active dans les travaux internes de quatre partis socialistes – le bulgare, le russe, le français et le roumain – pour devenir finalement un des leaders de la fédération soviétique, président du soviet ukrainien des commissaires du peuple, et le représentant diplomatique soviet en Angleterre et en France… »

Rakovsky essaya de convaincre son interrogateur que Staline devrait coopérer avec les banquiers qui « sont juste comme vous et moi. Le fait qu’ils contrôlent une quantité d’argent illimitée, dans la mesure où ils le créent eux-mêmes, ne détermine pas… les limites de leurs ambitions… Les banquiers ont une soif de pouvoir, de pouvoir total. Juste comme vous et moi ».

Ils créèrent l’État communiste comme une « machine pour un pouvoir total » sans précédent dans l’histoire. Dans le passé, dû à plusieurs facteurs, « il y avait toujours de la place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous que ceux qui contrôlent déjà partiellement les nations et les gouvernements mondiaux ont des prétentions de domination absolue ? Comprenez bien que c’est la seule chose qu’ils n’aient pas encore atteinte. »

Une force pernicieuse paralyse nos vies nationales. Rakovsky l’identifie : « Imaginez vous-même, si vous le pouvez, qu’un petit groupe de personnes ayant un pouvoir illimité grâce à la possession d’une vraie richesse, et vous verrez qu’ils seront les dictateurs absolus des marchés financiers et de l’économie… Si vous avez assez d’imagination alors … vous verrez leur influence anarchique, moral et sociale, c’est-à-dire une influence révolutionnaire… Comprenez-vous ? »

Le mouvement révolutionnaire, qui définit l’histoire moderne, était un moyen d’accroître le pouvoir des banquiers en détruisant l’ordre existant avant.

A la Révolution française, le pouvoir est passé subtilement aux banquiers, qui n’étaient pas contraints par les subtilités chrétiennes, dit Rakovsky. « Le pouvoir royal suprême fut subtilisé par des personnes qui n’avaient jamais été chrétiens ».

Le communisme, loin de distribuer la richesse, est conçu pour la concentrer dans les mains des personnes les plus riches de la planète. L’État possède la richesse et ils possèdent l’État. Et le marxisme, « avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration pour la révolution. »

Rakovsky se moquait du « marxisme élémentaire… le marxisme populaire démagogique » qui est utilisé pour duper les intellectuels et les masses. Quelque soient ses mérites intrinsèques, le socialisme semble conçu pour corrompre et rendre les peuples dépendants du grand gouvernement que les banquiers contrôlent…

Le but de la révolution n’est rien de moins que de redéfinir la réalité en termes d’intérêts pour les banquiers. Ceci implique la promotion de la réalité subjective au détriment de la réalité objective. Si Lénine « sent que quelque chose est réel alors c’est réel ». Pour lui, « chaque réalité était relative face à la seule et absolue réalité : la révolution ».

En d’autres termes, le blanc est noir et le haut est en bas. C’est comme ça qu’était l’Union Soviétique et c’est en train de nous arriver maintenant. La vérité et la justice sont en train d’être remplacées par un diktat politique. « Le politiquement correct », un terme bolchévique, est maintenant d’usage courant. Des physiciens comme Steven Jones qui s’interrogent sur le 11 septembre sont réduits au silence. Des historiens comme David Irving sont emprisonnés.

Rakovsky affirmait que « l’étoile à cinq branches des soviets représente les cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui possèdent des accumulations de richesses colossales, les plus grandes jamais connues ». « N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné ce fait ? » demande Rakovsky. « N’est-il pas étrange que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs banques ? »

La guerre est le moyen par lequel les banquiers centraux avancent vers leur objectif d’un gouvernement mondial totalitaire. Rakovsky disait que Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand (qui a déclenché la Première Guerre mondiale). Il rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq frères Rothschild :

« Si mes fils le veulent, alors il n’y aura aucune guerre ».

Cela veut dire qu’ils étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, mais pas les empereurs. Êtes-vous capable de visualiser le fait d’une telle importance ? La guerre n’est-elle pas une fonction révolutionnaire ? La guerre ? La Commune. Depuis cette époque, chaque guerre fut un pas de géant vers l’Internationale Financière Capitalo-Communiste »…

En 1938, Rakovsky souligna trois raisons pour la Seconde Guerre mondiale à venir. La première était que Hitler commençait à imprimer sa propre monnaie. « C’est très sérieux. Beaucoup plus que tous les facteurs externes et cruels du national-socialisme ».

Deuxièmement, le « nationalisme complètement développé de l’Europe occidentale est un obstacle au marxisme… le besoin de destruction du nationalisme vaut à lui seul une guerre en Europe ».

Troisièmement, l’Internationale Financière Capitalo-Communiste ne peut triompher que s’il supprime la « chrétienté encore en vie ». Il s’agit d’une « révolution permanente » comme datant de la naissance du Christ, et de la Réforme comme « sa première victoire partielle » parce qu’elle divise la chrétienté. Cela suggère que la « conspiration » contient aussi un facteur racial ou religieux.

Rakovsky : « En réalité, la chrétienté est notre seul vrai ennemi depuis tous les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois. La chrétienté contrôlant les individus est capable d’annuler la projection révolutionnaire de l’état neutre soviétique ou de l’état athée ».

Conclusion

Apparemment, la vérité est, qu’une relativement petite clique de familles en Europe et en Amérique ont usurpé le contrôle de la création des monnaies, et avec elle, la destinée du monde.

Cette classe supérieure possède et contrôle la plupart des plus grandes sociétés du monde, les médias, les agences de renseignement, les sociétés secrètes, les universités, les politiques, les fondations, les groupes de réflexion, les ONG (organisation non gouvernementales). Il apparaît aussi qu’ils dominent le crime organisé.

La classe supérieure veut que nous la voyions comme un « problème juif ». De cette manière, elle peut faire porter le chapeau à des juifs innocents et alors rejeter toute opposition en invoquant la « haine » et le « parti pris ». Le problème est principalement celui de la création de la monnaie (crédit), qui a conduit à une concentration intenable de puissance et de richesse entre peu de mains.

Pratiquement chaque individu utile à la société, juif ou non, est forcé, sciemment ou non, de s’aligner avec cette classe supérieure. Nos institutions religieuses, culturelles et politiques ont été détournées. Ceci explique la fausse qualité de la vie sociale en Occident.

Comme nous célébrons Noël, rappelons-nous du message du Christ : Dieu est Amour. Dieu est plus puissant que la force qui tient l’humanité en esclavage. Mais Sa volonté ne peut être faite que si les hommes la font. Quel qu’en soit le prix, ne rien faire coûtera encore plus.

Extraits de l’article de Henry Makow Ph.D rédigé le 25 novembre 2006, « Les banquiers centraux veulent un pouvoir totalitaire » sur le site www.henrymakow.com. Voir également « Le complot mondial Mythe ou Réalité ? » aux éditions Jacques Delacroix www.editions-delacroix.com et longs extraits en français de la Symphonie Rouge sur le blog d’Eva, R-sistons à la crise.