Dans son rapport sur le budget de la Sécurité sociale, la Cour des comptes avait reconnu en septembre 2001 que : « la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques […] la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par les laboratoires pharmaceutiques ». Un rapport du Sénat reconnaissait de son côté en juin 2006 que la formation médicale continue est assurée à 98 % par les laboratoires » (rapport Hermange et Payet).

Corruption et scandales à répétition

Pressions, collusion, corruption ou simplement conflits d’intérêts gangrènent ainsi la majorité des acteurs de la politique de santé qu’il s’agisse des « experts », des agences sanitaires ou du comité technique des vaccinations (CTV). Selon les commissions, 65 à 91 % des experts de l’Afssaps étaient liés par des liens d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques, sans oublier une rétention d’information constante. Il y a une obligation légale d’informer les médecins de l’ensemble des données officielles communiquées à l’Agence de sécurité sanitaire des médicaments avant la commercialisation. Cependant « on estime – reconnaît Michel le Duff, chef du service de pharmacie du CHU de Rennes et directeur du centre régional d’information sur le médicament (C.r.i.m) – que les labos ne communiquent que 1 % de leur données. En outre, l’information légale est très marginale. Les contre-indications sont inscrites pour respecter la législation ».

Il en résulte des scandales à répétition dont la révélation médiatique sera toujours tardive : Vioxx (30 000 morts aux USA), Thalidomide (10 à 20 000 malformations congénitales), Distilbène, Amiante, SV 40 ayant contaminé plus de 20 millions de doses de vaccin contre la polio – transmissible par voie sexuelle et sanguine et retrouvé chez plus d’un milliard d’habitants, anti-statines, nuage de Tchernobyl, vaccin hépatite B (entre 1994 et 2006, la fréquence des scléroses en plaques est passée de 30 000 cas à 83 000 cas en France et dans des proportions comparables dans les pays voisins avec ce vaccin), canicule, vache folle, vaccin grippe aviaire…

Avec le Médiator, la France nous a apporté la preuve de ce qu’il ne fallait pas faire : 17 alertes occultées par les autorités inféodées à Servier et commercialisation suspendue beaucoup plus tard que dans les pays voisins. La médiatisation n’intervenant qu’avec la publication d’un livre du Dr Frachon évoquant dans son titre un nombre de morts élevé, titre jugé « outrancier et disproportionné » par Servier, lequel venait de recevoir la légion d’honneur…

Après 10 ans de « bons et lucratifs services », les pilules contraceptives de 3ème et 4ème générations ne seront brutalement plus remboursées, puis suspendues à la suite d’une plainte déposée en novembre 2012 contre le laboratoire Bayer par une étudiante victime d’un accident vasculaire cérébral en 2006. Le Monde lance l’alerte sur ces pilules et les médias s’emparent de l’affaire durant deux mois. Journaux, radios et télévisions parlent quotidiennement du danger de ces contraceptifs. Ce traitement journalistique fera débat. « Les articles sur ce sujet étaient trop chargés de sensationnel et surtout d’émotionnel », déplore Isabelle Yoldjian, chef du pôle gynécologie à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). « Il est normal de s’émouvoir de l’histoire de cette jeune fille, mais il aurait été bien d’être plus factuel, de fournir plus d’explications, sans utiliser de termes catastrophes ». En reconnaissant qu’ils ne sont pas forcément de formation scientifique, d’autres précisent que leur travail les oblige à se renseigner, à effectuer un travail de recherche en amont et qu’ils ne sont pas moins aptes, en offrant un regard neuf sur le sujet qui a fini par sensibiliser à minima autorités et politiques.
Personne parmi eux ne s’est intéressé aux pilules contraceptives de 1ère et 2ème génération non dépourvues d’effets délétères.

Pourtant dans la préface du livre du Dr Eileen Grant (Amère pilule), le Pr Israël avait reconnu en 1985 que « La prise prolongée de pilule dès le plus jeune âge rend plus aléatoires et délicates les grossesses ultérieures. Telle est la réalité, plus ou moins occultée par tous ceux qui voudraient tant qu’elle n’en soit pas ainsi. S’agissant d’autres domaines de la médecine, il est vraisemblable que des produits entraînant de telles conséquences n’auraient jamais reçu l’autorisation de mise sur le marché. Des phénomènes culturels et politiques ont influencé les décideurs »… et accessoirement les médias…

Gardasil : Un nouveau vaccin génétiquement modifié sur la sellette

15 ans après la polémique sur le vaccin hépatite B mensongèrement qualifiée de « franco-française », ce « premier vaccin présumé efficace contre le cancer du foie » mais responsable de dizaine de milliers de complications auto-immunes et neurologiques, voilà que pointe un nouveau scandale sanitaire avec le vaccin contre le cancer du col de l’utérus (HPV ou Gardasil).

Avocat à Bordeaux, maître Coubris — qui s’occupe également du Médiator et de la contraception orale — dépose plainte le 23 novembre 2013 auprès du tribunal de Bobigny contre le laboratoire Sanofi Pasteur et contre le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament pour « atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine » chez une jeune landaise qui a reçu au dernier trimestre 2010 deux doses du vaccin Gardasil, préconisé dans le cadre de la prévention du cancer du col de l’utérus. Après l’apparition rapide de faiblesse générale, de vertiges et d’instabilité à la marche, les médecins soupçonnent une encéphalomyélite aiguë ou une sclérose en plaques dont le diagnostic sera posé en août 2011 : paralysie faciale, perte de la vue et de la marche. La commission d’indemnisation des accidents médicaux d’Aquitaine ordonnera une double expertise avec la même conclusion : « Il existe un lien de causalité entre la première injection de Gardasil et la survenue d’une réaction inflammatoire aiguë du système nerveux central qui, dans un deuxième temps, après la seconde injection, a décompensé un processus immunitaire. La cascade inflammatoire démyélinisante post-vaccinale ayant atteint l’intéressée ? présente tous les caractères objectifs d’imputabilité médico-légale » sans écarter pour autant une éventuelle vulnérabilité génétique.

Après Sud-Ouest et le Journal du Dimanche, l’ensemble de la presse écrite et radiotélévisée a décrit le calvaire de la jeune fille ainsi que de trois autres jeunes filles victimes de maladies auto-immunes (maladie de Verneuil et polymyosites), sans aborder pour autant la polémique que soulève ce vaccin chez nos voisins dont certains ont suspendu la commercialisation. La couverture médiatique se limite aux faits ponctuels sans pousser la réflexion sur les raisons profondes de la survenue de telles complications et sur les responsabilités des institutions qui prennent pour parole d’évangile les déclarations des labos qui nient tout lien de causalité. Mais sans doute n’est-il pas politiquement, médicalement et économiquement correct de mettre en doute et critiquer toute vaccination. Ce que n’a pourtant pas manqué de faire, le 26 novembre 2013, la députée européenne, Michèle Rivasi, fondatrice après la catastrophe de Tchernobyl de la Crirad en 1986 et présidente de la Criirem.

Le sévère réquisitoire de la députée Rivasi contre ce vaccin inutile et dangereux

Cette agrégée de biologie souligne ainsi que : « Dès 2007, l’Espagne et l’Allemagne ont critiqué le fait que ce médicament ait été autorisé sur le marché malgré une efficacité de 17 % seulement – que l’on ne pourra apprécier qu’après 30 ans de vaccination -. Puis en septembre 2012, nous apprenions le décès d’une jeune fille de 13 ans à Gijón (Espagne) à cause de ce vaccin. Aux États-Unis également de nombreuses victimes ont porté plainte et il y a également eu des décès.

Compte tenu de l’absence de données fiables sur l’efficacité et le rapport bénéfices/risques du Gardasil (les travaux de pharmacovigilance montrent même un sur-risque), est-il raisonnable de continuer à exposer les jeunes filles à des risques d’effets secondaires graves qui peuvent détruire leur vie ? Pourquoi vouloir exposer une population jeune et en bonne santé à des risques inutiles qu’entraîne le Gardasil, alors que l’on dispose de moyens de prévention efficaces : frottis, préservatif et éducation sexuelle (puisqu’il s’agit d’une infection sexuellement transmissible) ?

Il me semble donc indispensable de demander aux professionnels de santé d’informer correctement et complètement les parents et les jeunes filles susceptibles de recevoir ce vaccin. Il revient en outre aux autorités sanitaires de créer un fond de compensation pour les victimes d’effets indésirables, de retirer le Gardasil du calendrier vaccinal et de ne plus le rembourser. En ces périodes de coupes budgétaires, il est temps de cesser les dépenses inutiles qui grèvent le budget du système national de santé. Enfin, mettons fin au matraquage publicitaire qui culpabilise les parents et profite aux laboratoires pharmaceutiques. »

Plaidoyer de la Cri-vie pour une information objective occulté par les politiques et les médias

Face à l’arnaque commerciale lancée par Sanofi Pasteur MSD avec un matraquage publicitaire mensonger et culpabilisant pour les parents et devant le silence des institutions, un ami pharmacien belge et moi-même, avions élaboré un document de 2 pages sur la légitimité de ce vaccin, sa réelle efficacité, sa sûreté et son rapport bénéfice/risque. Il fut adressé à tous les députés et sénateurs de la commission des affaires sociales, au ministère de la santé, à tous les conseils de l’Ordre, à des médecins et pharmaciens, à la plupart des médias ainsi que diffusé sur la toile dès octobre 2007.

Des techniques de racolage

Nous avons ainsi repris l’interview du Dr Jean Lacoste, président de Pau Béarn Cancer, lequel dans le cadre de la campagne d’incitation de la vaccination contre les papillomavirus affirmait que « la vraie difficulté va être de convaincre les parents de la nécessité de vacciner les jeunes filles […] Les gens ne sont pas sensibles aux arguments scientifiques mais humains. La morale, il faut la mettre au deuxième plan car c’est la première fois qu’on dispose d’un vaccin qui va permettre d’éradiquer un cancer ».

Pour convaincre les parents, rajoutions nous, la peur sera-t-elle utilisée comme ce fut le cas avec le vaccin hépatite B ; une note interne de Sanofi publiée au cours du journal d’Antenne 2 en mai 1998 reconnaissait que « dans le domaine des vaccinations, les adolescents sont un segment très porteur. Il faut dramatiser, faire peur avec la maladie ».

Une efficacité plus qu’aléatoire

Nous citions également le Docteur Monsonego, chef du département de colposcopie de l’institut Alfred-Fournier, pour lequel « le dépistage du cancer du col de l’utérus permet d’éviter ce cancer ». Entre 1980 et 2000, cette politique a permis de faire baisser le nombre de cas de 3 % par an et le nombre de décès de 4,5 % par an en France et même de « 80 % dans les pays d’Europe du Nord où le dépistage est organisé » (CSHPF). Pour nos experts, la mise sur le marché de vaccins préventifs constitue cependant un réel espoir pour 40 % des femmes ne bénéficiant toujours pas d’un suivi régulier.

Alors que le fabricant du Gardasil affiche péremptoirement et mensongèrement une efficacité de 100 % pour 70 % des cancers de l’utérus, nous avancions que selon un document émanant de la FDA (Food and Drog Administration) en date du 18 mai 2006, la vaccination des femmes séropositives pour les génotypes correspondant à ceux du vaccin augmente au contraire de 44,6 % le risque de développement de lésions précancéreuses de haut grade. Nous citions également Abby Lippman, biologiste et épidémiologiste de l’Université McGill, pour laquelle « on ne sait pas encore si le vaccin permettra de réduire le nombre de cas de cancer. » Dans la mesure où le cancer peut se manifester plusieurs décennies après la contamination, ce n’est par conséquent, qu’après un délai équivalent que l’on pourra prouver ou non l’efficacité de ces vaccins… à l’étude depuis 5 ans, alors que la plupart des infections HPV ne sont pas associées au cancer et guérissent spontanément ! (Canadian Medical Association Journal (CMAJ), 28 août 2007)

On ne peut également écarter, ajoutions-nous, « l’émergence par la vaccination de souches résistantes », voire celle de nouvelles souches cancérigènes par le biais du constant phénomène de commutation, mécanisme observé dans les méningites à méningocoques, à Haemophilus, à Pneumocoques ou encore dans la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole.

Des vaccins dangereux au potentiel toxique élevé reconnu dès 2007

Si, pour le laboratoire Merck, les effets secondaires seraient légers, se limitant à des douleurs au point d’injection, de la fièvre, un œdème local, un érythème… à une fréquence curieusement comparable à celle du placebo, mais pour le VAERS (banque de données des effets adverses des vaccins dépendant des autorités sanitaires américaines) était déjà recensé en 2007, jusqu’au 10 mai, 1 637 réactions défavorables, puis 1 824 entre le 11 mai et le 7 septembre 2007, dont 11 décès, et sur 77 femmes enceintes vaccinées, 33 avortements ou anomalies fœtales.Ceci malgré une sous-notification reconnue de l’ordre de 90 %.

Ces vaccins recombinants contre le cancer du col faisant appel, comme le vaccin hépatite B, à de l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant de l’immunité, peuvent également déclencher à court terme mais plus souvent à long terme (10 ans voire plus) une myofasciite à macrophages (cellules du système immunitaire), affection neuro-musculaire très invalidante associée une fois sur trois à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques ou encore une thyroïdite. Ce n’est pas par hasard, disions-nous, qu’Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, a crû bon de reconnaître lors d’une réunion de l’Office mixte parlementaire de la politique de santé en juin 2007 que la psychose autour du vaccin contre l’hépatite B est si puissante que l’une des craintes que suscite la mise en place d’un vaccin contre le papillomavirus est qu’une jeune fille vaccinée ne soit ensuite atteinte d’une sclérose en plaques !

Après avoir publié ce document au Congrès annuel de gynécologie de Tarbes, je fus rapidement mis à la porte manu militari par son directeur et ses vigiles. Deux jours plus tard, le Dr Lacoste me menaçait par téléphone de poursuites devant le procureur et m’informait qu’une place à l’hôpital psychiatrique de Pau m’était réservée… Interpellé par mes soins, le Conseil de l’Ordre se récusa.

Un rapport bénéfice/risque totalement négatif

Faut-il attendre plusieurs décennies pour apprécier le bénéfice réel de ces vaccins sur les cancers du col alors que le seul dépistage a permis une réduction de 90 % de l’ensemble de ces cancers. Pendant ce temps, la liste de leur toxicité ne cesse de s’allonger. Des états de ménopause précoce dès 16 ans n’ont-ils pas été signalés récemment. On retrouva également les mêmes fragments d’ADN du vaccin génétiquement modifié, qui avaient été découverts, fortement attachés à l’adjuvant aluminium Gardasil, dans le sang d’adolescentes ayant présenté une maladie auto-immune après la vaccination mais encore dans des échantillons post-mortem d’une jeune fille de Nouvelle-Zélande décédée six mois après sa troisième injection du Gardasil. (Lee, S. 2012)

Déjà très négatif, le rapport bénéfice/risque ne le sera que davantage encore avec l’effet cumulatif des autres vaccins administrés dont la majorité fait appel à l’hydroxyde d’aluminium ainsi que l’utilisation au long court de contraceptifs oraux, le tabagisme actif (plus de 15 cigarettes par jour), l’existence d’autres infections sexuellement transmissibles, facteurs exogènes reconnus comme favorisant la persistance de l’infection à papillomavirus et cofacteurs de la carcinogenèse. Ce risque de cancérisation par ces vaccins est bien réel puisque une note interne de la FDA de mai 2006 reconnaît que la vaccination des femmes séropositives pour les génotypes correspondant à ceux du vaccin augmente au contraire de 44.6 % le risque de développement de lésions précancéreuses de haut grade.

Une analyse canadienne particulièrement critique et défavorable aux vaccins HPV

Après avoir passé en revue plus d’une centaine d’études scientifiques, Christopher Shaw et Lucija Toljenovic de l’Université de Colombie britannique de Vancouver, ont publié leur synthèse dans « Annals of Medicine » le 22 décembre 2012.

A ce jour, l’efficacité des vaccins anti-HPV dans la prévention des cancers du col de l’utérus n’a pas été démontrée, tandis que les risques des vaccins restent incomplètement évalués. Les pratiques mondiales actuelles de vaccination contre le HPV avec l’un ou l’autre des deux vaccins n’apparaissent ni justifiées par des bénéfices sanitaires à long terme ni économiquement rentables, de même qu’il n’existe pas non plus de preuve que cette vaccination anti-HPV (même si elle était prouvée efficace dans la prévention du cancer du col) puisse réduire le taux de cancers du col en-deçà de ce que la pratique du dépistage par frottis a déjà permis.

La liste des effets secondaires graves liés à la vaccination mondiale anti-HPV inclut des décès, des convulsions, des paresthésies, des paralysies, des syndromes de Guillain-Barré, des myélites transverses, des paralysies faciales, des syndromes de fatigue chronique, des anaphylaxies, des maladies auto-immunes, des thromboses veineuses profondes, des embolies pulmonaires et des cancers du col de l’utérus.

Parce que la couverture du programme de vaccination anti-HPV est généralisée et d’ampleur mondiale, la santé à long terme de beaucoup de femmes pourrait être compromise en contrepartie de bénéfices vaccinaux toujours incertains.

Les médecins devraient adopter une approche médicale plus rigoureuse, davantage basée sur les preuves, afin de pouvoir fournir une évaluation plus objective et plus nuancée du rapport bénéfices/risques à leurs patients.

Des ministres de la santé qui prennent leurs responsabilités et d’autres bien silencieux.

A la suite du décès d’une jeune fille, le Gardasil n’est plus inclus dans le calendrier vaccinal en Autriche et n’est plus remboursé depuis début 2008. La ministre de la Santé évoque les données peu sûres, l’absence de certitudes quant à l’efficacité du vaccin, à la durée de l’immunisation, à la nécessité ou non de rappels ultérieurs. Elle souligne l’efficacité de loin plus grande du dépistage dans la prévention des lésions précancéreuses et des cancers du col de l’utérus.

En juin 2013, le ministre de la santé japonais décidait de retirer ses recommandations en faveur des vaccins contre le cancer du col. En 2011, la revue indépendante allemande Arznei-Telegramm nous révélait qu’un essai clinique du Gardasil incluant des jeunes filles défavorisées, bénéficiait d’un financement de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il fut arrêté à la suite de la survenue de 7 décès et plus de 120 effets indésirables graves, sur fond de conflits d’intérêt et de désinformation.

Serait-ce trop demander à Madame Marissol Touraine, ministre de la santé, de mettre un terme à ce vaccin dont la composition le rend défectueux et son administration délictueuse avant d’ordonner une enquête et une expertise indépendantes et contradictoires ?

Telle serait une juste application du principe de précaution pour réduire la gravité de ce scandale et prévenir l’apparition d’autres scandales sanitaires, les mêmes causes engendrant les mêmes effets : politique de santé inféodée aux lobbies pharmaceutiques et tributaire des indices boursiers, collusion, corruption et liens d’intérêts incestueux des autorités sanitaires, de certains conseillers ministériels…

Il est manifestement urgent de tirer les conséquences de tous ces scandales et de libérer la médecine et tous ses acteurs de l’emprise des laboratoires et des indices boursiers.

Dr Marc Vercoutère, 10 déc 2013,
Morphéus n° 61, janv-févr. 2014