Le Dr James Giordano a 40 ans d’expérience en neurosciences et des références prestigieuses. Il travaille toujours sur des projets de la DARPA et pour le Pentagone. Il est sorti de l’ombre en 2018, lors de conférences remarquées à l’académie militaire de West Point et diffusées sur internet.
Il a mis en place un projet appelé Narrative Networks à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA). Il s’agit d’affiner les technologies pour laver le cerveau de populations entières, en maintenant les cerveaux sous contrôle de manière permanente.
Le Dr Giordano s’efforce de concrétiser une prédiction d’il y a cinquante ans. « Je prévois un temps où nous aurons les moyens et donc, inévitablement, la tentation de manipuler le comportement et le fonctionnement intellectuel de tous par des moyens environnementaux et biochimiques ». (Zbigniew Brzezinski, Between Two Ages, 1972).
Giordano parle avec un enthousiasme à peine voilé des technologies de contrôle mental, de destruction des cerveaux par neuro-armes et d’handicaps causés par neurotoxines. Sans complexe, il explique aux militaires comment tuer, blesser, rendre fou et contrôler l’homme au moyen de nanotechnologies.
Stimulation électronique transcrânienne
Le Dr Giordano explique comment contrôler les esprits avec des armes biologiques et des nanotechnologies permettant l’implantation et l’extraction à distance des pensées de la cible. Il s’agit d’une stimulation électronique transcrânienne au moyen d’aérosol contenant des nano-particules. Pour cela, la DARPA et le Pentagone sont en mesure de fabriquer des aérosols diffusant des nano-robots visant le contrôle de l’esprit. Toute population inhalant ces nano-particules est implantée à leur insu et sous contrôle mental télécommandé.
Implants cérébraux télécommandés, médicaments et « neuro-armes »
Giordano explique comment contrôler technologiquement les cerveaux :
- Par la création de nouveaux appareils, comme de minuscules machines à l’échelle d’une poussière (smart dust et nanobots).
- Par le développement de nouveaux médicaments, permettant une « double utilisation », médicale d’un côté et implants de contrôle de l’esprit de l’autre. Ainsi, l’extraction et l’implantation de pensées chez le patient est possible après l’administration de ce type de médicament.
- Par le développement de nouvelles armes nanobiologiques qui fonctionnent comme des armes psychiques (neuro-armes). Il s’agit d’induire chez les cibles des symptômes de maladie mentale.
Giordano se félicite des avancées en matière de stimulation transcrânienne non invasive, permettant de contrôler à distance l’esprit des populations. Il évoque d’autres neuro-armes :
- les « produits pharmaceutiques de proximité et neurotoxines organiques » ;
- les « agents neuro-microbiologiques à morbidité élevée » ;
- les « neuro-microbiens avec des groupes de symptômes neuro-psychiatriques élevés » ;
- les « produits microbiologiques génétiquement modifiés avec de nouveaux profils de morbidité/mortalité » ;
- les « agents nano-neuroparticulaires » visant à détruire physiquement le cerveau ;
- les « nanofibres de plomb/silicate de carbone » parasitant le cerveau ;
- les « agents hémorragiques neurovasculaires » pour provoquer des épidémies d’AVC.
Des neuro-armes testées dans les vaccins covid-19 ?
L’industrie pharmaceutique travaille en collaboration avec la DARPA et des départements militaires américains. Pfizer avait un casier judiciaire très lourd avant le covid. Pfizer est un groupe zombie n’ayant rien à offrir de correct en matière médicale. Condamné à des milliards de dollars d’amendes pour corruption, charlatanisme, irrespect de règles sanitaires élémentaires, tromperies, etc., rien ne prédisposait de tels charlatans cupides à demeurer dans le domaine de la santé. Pfizer aurait du être écarté de toutes activités relatives à la médecine, à la pharmacie et à la fabrication de médicaments ou vaccins. Cette « industrie » était en faillite technique avant l’épisode du Covid. Or, ce groupe, connu pour ses méthodes mafieuses s’est retrouvé au centre de toutes les attentions gouvernementales, recevant des centaines de milliards de dollars pour un pseudo-vaccin dit à ARNm.
Alors, Pfizer a-t-il été utilisé et protégé par des départements de recherche militaire pour tester des neuro-armes sur les populations ? Il est étonnant d’entendre parler « d’épidémie d’AVC » avant l’heure. Ce terme n’a été employé que très récemment par les média, à partir de 2023. Or, James Giordano explique, en 2018, comment provoquer des « épidémies d’AVC » avec des « agents hémorragiques neurovasculaires ».
Notre Dr Mengele de la DARPA va-t-il trop loin dans ses révélations ? N’est-il pas en train de nous décrire ce que contenaient certains lots d’injection covid-19 ? La réponse se trouve dans les bureaux de la DARPA couverte par le secret défense…
Source : www.lifesitenews.com, 24 fév. 2023
Morphéus n° 118, juillet-août 2023