Il est difficile pour un citoyen lambda d’imaginer qu’il puisse être atteint ou changé psychiquement, psychologiquement, par une technologie utilisée contre lui à son insu. Sans être exercé mentalement et émotionnellement à distinguer en soi ce qui nous appartient, de ce qui ne nous appartient pas, c’est un crime parfait contre l’esprit. L’individu pense alors comme il lui est dicté de penser, ses émotions sont induites, son intellect est bridé et il devient alors l’outil d’un gouvernement, de militaires ou d’un groupe sectaire. Il est mû par une pensée synthétique, peut être conforté émotionnellement et peut s’engager dans des actions en tant qu’agent de propagande participative servant des intérêts étrangers à sa nature profonde.
Les preuves positives de l’existence d’appareils permettant de contrôler à distance la pensée d’un individu existent depuis plus de 70 ans. Ce que la religion dogmatique, la sorcellerie et la magie noire de suggestion ont pu faire depuis la nuit des temps est, à notre époque, reproduit scientifiquement.
À titre de preuve objective, nous pouvons donner l’exemple du brevet américain numéro 3 951 134 déposé par Inventor Malech ; Robert G. (Plainview, NY) et son cessionnaire : Dorne & Margolin Inc. (Bohemia, NY) le 5 avril 1974. Le brevet a été délivré le 20 avril 1976. Un brevet est accordé à condition qu’il soit absolument prouvé qu’il fonctionne exactement comme il a été soumis au bureau des brevets.
Ce brevet, s’appuyant en partie sur des travaux remontant à novembre 1958 (Patente US n° 2860627 de Harden et coll.), s’intitule : Appareil et méthode de surveillance à distance et de modification des ondes cérébrales. Rappelons ici que cette invention date de 1974 et relève de cadres de recherches et préceptes qui existaient déjà dans les années 50 !
Résumé du brevet
Il s’agit d’un appareil et d’une méthode de détection des ondes cérébrales d’un sujet à distance. Des signaux électromagnétiques de fréquences différentes sont simultanément transmis au cerveau du sujet. Les signaux interfèrent les uns avec les autres pour produire une forme d’onde qui est modulée par les ondes cérébrales du sujet. La forme d’onde d’interférence qui est représentative de l’activité des ondes cérébrales est retransmise par le cerveau à un récepteur. Elle est alors démodulée et amplifiée, puis transmise à un ordinateur pour analyse.
La forme d’onde démodulée enregistrée dans l’ordinateur peut être utilisée pour produire un signal qui est retransmis au cerveau du sujet. Ainsi, il est possible d’opérer un ou des changements souhaités dans l’activité électrique du cerveau de la cible.
Objectifs de l’invention
- Il s’agit de surveiller à distance l’activité électrique dans tout le cerveau ou dans des régions locales sélectionnées de celui-ci avec une seule mesure.
- L’invention vise à surveiller l’activité des ondes cérébrales d’un sujet par la transmission et la réception d’ondes électromagnétiques.
- Il s’agit de disposer d’un procédé et d’un appareil permettant d’affecter et de modifier l’activité des ondes cérébrales en leur transmettant des signaux électromagnétiques.
Cela s’apparente bien à la mise sous suggestion d’un individu par un moyen électromagnétique.
Communication par transfert d’ondes cérébrales par satellites
Le brevet technologique, LLC (Derwood, MD, 09 / 206,365), n°22766053 de Mardirossian ; Aris (Germantown, MD) fut déposé le 7 décembre 1998. Il s’appuie sur la documentation d’une dizaine de brevets déposés la même année (février 1998 Faupel 5719561 ; février 1998 Gonzales 5722418 ; mars 1998 Copain 5730146 ; mars 1998 Itil et coll. 5736543 ; avril 1998 Rogers et coll. 5737485 ; avril 1998 Flanagan et coll. 5747492 ; mai 1998 Lynch et coll. 5791342 ; août 1998 Woodard 5816247 ; octobre 1998 Maynard). Cela témoigne d’une intensification de la recherche sur les ondes cérébrales ainsi que l’allocation de budgets considérables. Qui d’autres que les multinationales ou le complexe militaro-industriel a les moyens de financer une telle quantité de travaux scientifiques sur le cerveau humain ?
Résumé de ce brevet
L’invention concerne un système et un procédé permettant à des êtres humains de communiquer au moyen de leur activité cérébrale surveillée. L’activité cérébrale d’un individu est surveillée et transmise via satellite à un ordinateur d’analyse. Ses ondes cérébrales sont alors comparées à des courbes d’activité cérébrale normalisée préenregistrées. Il s’agit de déterminer si une correspondance substantielle est trouvée. Si une telle correspondance est trouvée, l’ordinateur détermine ce que l’individu disait ou pensait simplement. La phrase ou la pensée, correspondant au signal normalisé stocké dans l’ordinateur, peut alors être retransmise via satellite à un autre individu. De cette manière, les êtres humains peuvent communiquer entre eux par transmission satellite de leur activité cérébrale.
Rappelons encore qu’il s’agit d’une technologie qui a déjà un quart de siècle. Entre-temps, d’innombrables avancées informatiques, nanotechnologiques et l’émergence de l’intelligence artificielle nous permettent d’affirmer que la pensée et la modulation de la pensée n’ont plus aucun secret pour ceux qui disposent de ces technologies psychotroniques. D’ailleurs, l’OTAN ne s’en cache même plus, affirmant dans son rapport « Cognitive Warfare » de 2020 que, « les populations ignorantes de l’avancée de ces sciences sont des proies faciles qui peuvent être utilisées comme « armes de propagande participative » à leur insu ».
On peut donc noter, dans l’évolution des armes et technologies psychotroniques, une puissante intensification des recherches des années 90 à aujourd’hui. Il semble que toutes les armées du monde aient emboîté le pas sur le développement et le déploiement de telles armes, y compris contre leurs propres citoyens. Parallèlement, la censure sur l’existence de telles sciences s’est intensifiée afin de maintenir la population dans l’ignorance. L’intelligence artificielle, associée aux moteurs de recherche du web, sert à supprimer toute information qui pourrait éveiller l’attention du public. Même si cela est difficile à prouver, étant donné la miniaturisation des composants, toute la technologie de téléphonie mobile, télévisuelle et les distractions qui y sont associées constituent un relais psychotronique parfait pour moduler les esprits. La volonté politique de dématérialisation vise à contraindre la population à se connecter toujours plus longtemps, en toute ignorance, à ces technologies de contrôle de l’esprit.
Source : William Cooper, VERITAS News Service &
documents d’Eleanor White, trad. et retranscription Morphéus
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