En Californie, certains malades présentant les symptômes de la tuberculose n’avaient pas de bacille de Koch dans leur organisme. Les médecins ont avoué ne rien y comprendre. Des pathologies sans cause apparente, est-ce possible ? Cela nous rappelle la biologie numérique du docteur Benveniste. Ce dernier avait réussi à cancériser des cellules saines à New York à partir d’une tumeur mère située à Paris. Il avait enregistré les signatures et signaux de la tumeur mère et les avait envoyé via internet sur des cellules saines dans un labo outre-atlantique. La réussite de cette expérience, qui n’eut aucun écho dans la presse, a démontré qu’il était possible de propager à distance un cancer, un bacille, un virus, une bactérie, en quelque sorte « numérisés » sur des porteuses électromagnétiques.
Toutes ces technologies de destruction à distance relèvent aujourd’hui du « secret défense » mais, la possibilité de diffuser toute sorte de maladies « numériques » via les ondes est une réalité. Pour répondre à certaines questions, je dirais simplement qu’il est possible d’envoyer un bio-virus « numérisé » via la téléphonie mobile et presque tous les appareils et objets connectés aujourd’hui.
Dans les antennes relais, des kits d’émission sont installés sans que les techniciens sachent de quoi il s’agit. Il leur est interdit d’ouvrir ces étranges boites. Pour en savoir plus, un employé a ouvert l’un de ces kits et a fait circuler cette photo sur internet.
Le gros processeur associé à la carte électronique ci-contre se nomme COV.19. C’est écrit clairement sur le boîtier. Cette information est suffisamment troublante pour être catégoriquement confirmée ou démentie. En clair, il faudrait pouvoir inspecter les dispositifs des antennes relais, faire des vérifications et demander aux opérateurs quelle est au juste la fonction du processeur COV.19 ?
Dans notre éditorial, nous avons évoqué la possibilité d’émettre des signatures pathogènes électromagnétiques de virus, bacilles, bactéries, etc. Ces technologies militaires classées « secret défense » seraient-elles utilisées pour nuire aux populations ? Il faudrait faire sauter ce « secret défense » pour le savoir !
Si le smog électromagnétique contient des signaux pathogènes, confiner les populations dans les villes ne fait qu’aggraver la situation sanitaire.
Info de Jean-Luc Ayoun,
Publié dans Morphéus n° 100, juillet-août 2020