Dans un affidavit (déclaration sous serment) du 15 juillet 2015, à Bruxelles, le docteur Hildegarde Staninger, spécialiste en toxicologie industrielle, docteur en médecine intégrative, expose toutes les avancées relatives aux nanotechnologies implantées ou implantables chez l’être humain. Elle fait cette déclaration pour une patiente atteinte de la maladie de Morgellon que l’on tentait de faire interner. Elle révèle ici les brevets US 5054339, du 19 décembre 1990 et 6,503,231 B1 du 7 janvier 2003 qui renvoient à une centaine de brevets relatifs à l’implantation possible sur l’humain d’une multitude de nano-objets, nano-cristaux ou fluides, etc.
Extraits de l’affidavit : « Je suis un docteur en médecine intégrative et ai pratiqué cette discipline à travers les auspices de la toxicologie industrielle pendant 14 ans. De 2003 à ce jour, je me suis spécialisée dans l’identification morphologique des effets pathologiques toxicologiques systémiques pour le corps humain, à l’exposition aux nano matériaux avancés, tels que les nano fluides, les nano particules, les nano bio-échafaudages, thinfilms (tissus fin artificiel), les hydrogels, les nano fils, les cristaux liquides viraux, les microsphères de terahertz, les nano diamants, nano biocapteurs et de nombreux autres domaines de la nanotechnologie. Les aspects concernant l’exposition humaine se trouveraient sous la discipline des sciences de la nanotoxicologie appliquée, et de la biométrie avec les aspects de l’enregistrement télémétrique de données et de surveillance… »
« … En novembre 2010, je reçois un échantillon scission de la directrice en neurchirurgie, le Dr Michèle Levasque, de l’Université de Californie, Los Angeles/hôpital Cedar Sinaï et pathologiste en chef pour effectuer une analyse chimique inexplorée de matériaux de pointe sur un méningiome bénin. II se trouve que le méningiome bénin était un noyau de styrène, une puce de cerveau humain qui a été placée dans le corps de mon client à l’aide d’une nano fléchette comme cela a été indiqué aux autorités compétentes. Le résultat de cette première recherche détermina la composition d’un nano-bio-outil à travers des nano pièces dans un être humain. Le rapport complet avec les analyses se trouve sur : www.onecellonelightradio.wordpress.com (Global Brain Chip, document du Dr Hildegarde Staninger, RIET-l.)… »
« …Mme M. V. m’a contactée le 10 octobre 2014 pour déterminer s’il y avait une nanotechnologie innovante qui pouvait causer l’étouffement, l’étranglement de la gorge et/ou d’autres événements physiologiques. Mme V. a subi ces phénomènes et découvert des cicatrices et d’autres changements physiques dans son corps.
La nanotechnologie innovante qui peut être appliquée aux symptômes qu’elle décrit est connue en tant que polymères et élastomères d’optique colloïdal et systèmes de nano-structures développés par des programmes scientifiques dans les universités suivantes :
- l’Université de Wisconsin à Madison, États-Unis ;
- l’Université de Twente, Pays-Bas ;
- l’Université Nottingham Trent, Royaume-Uni recherche financée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et l’US Air Force voir (www.colorado.edu/i-camp/previous). »
« La nanotechnologie innovante dans la zone de la gorge est connue comme une peau intelligente qui se courbe et se plie électroniquement comme un e-tatouage extensible Le matériau primaire qui est utilisé dans son développement est un processus de film mince qui utilise du carbone noir, lequel a depuis été remplacé par de la nano argile afin d’améliorer la réticulation (formation d’un ou de plusieurs réseaux tridimensionnels). La méthode de silicium noir a été développée à I’Université de Twente et est référencée sous le brevet US 5054339, 19 décembre 1990, Octobre 1991, Harold Yacowitz, Tattooing assembly. »
« L’utilisation de la méthode de silicium noir a été élargie au brevet américain 6,503,231 B1 délivré le 7 janvier, 2003 Georgia Tech Research Corporation, Atlanta, GA dont le titre est Dispositif par micro-aiguille pour le transport des molécules à travers les chairs. Les termes tubules minuscules et poils (whiskers) mono cristallins sont référencés dans ce brevet. Des termes de nano technologie plus anciens font référence à Edel, et al : « les facteurs influençant la bio compatibilité des micro structures en silicone insérables dans le cortex cérébral. » (Transactions 1EEEI le génie biomédical 39 (6) 635-43 (1992)). Le brevet référence la méthode « Black on Silicon » comme faisant partie du processus d’élaboration de la technologie de la micro aiguille qui est maintenant utilisée dans la technologie de reconnaissance vocale e-tatouage pour la télé médecine, et pour de multiples applications de sécurité pour les brevets de Motorola qui sont maintenant détenus par Google et dont la recherche est dirigée par Regina Dugan, l’ancienne directrice de la DARPA. »
« L’Université de Twente, Institut de nanofabrication moléculaire du professeur IR Jurriaan Huskens est bien accueillie dans la communauté scientifique pour le développement de nano élastomères, la recherche collaborative et le brevetage mondial de technologies à MESA. Cet institut de nanotechnologie mène un programme de recherche conjoint avec six groupes de recherche allant de la chimie, à la physique, en passant par la micro-ingénierie. Toutes ces recherches englobent des universités aux États-Unis, en Angleterre, à Singapour et d’autres pays pour le développement de matériaux hybrides pour la photonique intégrée et autres systèmes de nano polymères et nano particules… »
Dr. Hildegarde Staninger, toxicologie industrielle/
médecin de la médecine intégrative, président, NREP/SCADA
415 3/5N. Larchmont Blvd, Los Angeles, CA 90004 ? USA
Tel : 323 466 2599 – Fax : 323 466 2774