En Ukraine lors de la pseudo-révolution orange de 2005, les Femen étaient financées par l’Open Society Institute de George Soros. En France, elles sont financées en partie par Soros via l’agence Associated Press. Soros n’a rien d’un agneau avec Goldman Sachs et la JPMorgan Chase. Il est connu comme l’un des requins les plus féroces de la haute finance transnationale visant la destruction des états nations et la déstabilisation de la cellule familiale traditionnelle.
Les Femen se font connaître en France au moment de l’affaire Strauss-Kahn/Nafissatou Diallo où trois activistes de l’organisation déguisées en soubrettes s’étaient déplacées devant le domicile parisien de Dominique Strauss-Kahn en guise de protestation. Leur engagement contre les opposants au mariage gay fut moins anecdotique. En novembre 2012 des militantes des Femen France sont intervenues à plusieurs reprises dans des manifestations contre le projet de loi prévoyant le mariage pour tous. Dans celle organisée par l’institut Civitas, les slogans (peints sur le corps) étaient particulièrement provocateurs : « Saint esprit étroit », « Fuck God » (« Baise Dieu »), « Fuck religion » (« Baise la religion »), « Fuck church » (« Baise l’Église »), « In gay we trust » (« Nous croyons en l’homosexualité ») ou « Occupe-toi de ton cul ». Après avoir arrosé des manifestants avec des extincteurs portant l’inscription « See the sperm, the Holy sperm » (« Voyez le sperme, le saint sperme »), elles sont repoussées par le service d’ordre.
Les Femen, association sulfureuse subventionnée par la mairie de Paris, font à nouveau parler d’elles le 20 décembre 2013 en profanant l’église de la Madeleine. Une Femen a mimé l’ « avortement de l’embryon de Jésus » devant l’autel de l’église de la Madeleine, voilée de bleu ciel, un morceau de foie de veau en main. Une Femen s’est dépoitraillée en se tournant vers la nef, avec inscrit sur son dos « Noël est annulé ». Le père Horaist a porté plainte, mais cette plainte n’a « jamais eu de suites ».
Observatoire des subventions Figaro du 6/01/14, Morphéus n° 62