L’absurdité du traitement de la crise en Grèce a engendré des grèves de la police, des militaires et surtout des services de renseignement grecs intérieur et extérieur. Quand la sûreté nationale, l’armée et la police ne répondent plus aux ordres d’un gouvernement devenu fou, que reste-t-il pour asseoir un semblant d’autorité ? Chrysanthopoulos a trouvé la solution, il a avoué : « Le gouvernement a embauché des entreprises de sécurité professionnelle comme Blackwater pour se protéger ».
Ces mercenaires transnationaux doivent assurer la protection des politiciens qui in fine travaillent pour le Cartel bancaire en dépeçant la Grèce. Quant à la police, l’armée et les renseignements grecs, ils vont voir leurs soldes se réduire comme une peau de chagrin. En effet, payer des mercenaires coûte cher, très cher au pays, il faut bien prendre l’argent quelque part.
Allons-nous voir bientôt ce Modus Operandi appliqué dans tous les pays européens ?
Source : LIESI, fév 2013