Bleu, blanc, rouge, telles sont les couleurs du drapeau national. À la lumière d’une certaine herméneutique remontant à 5 000 ans, le choix de ces couleurs semble ne pas être fortuit. Quelque puissant initié semble avoir été mis à contribution pour le choix de ces couleurs.
Dans le Mystère des Cathédrales, page 111, Fulcanelli explique que le drapeau français, est composé des 3 couleurs de l’œuvre alchimique le noir ou bleu, le blanc et le rouge.
« En Chaldée, les ziggourat étaient recouvertes de trois couleurs : noire, blanc, rouge pourpre. » précisément les trois couleurs de l’œuvre alchimique.
En somme, les couleurs de Babel flottent sur la France depuis la révolution française. Cependant, ces mêmes couleurs renvoient à l’alchimie, discipline peu prise au sérieux avec l’avènement du scientisme au XXe siècle.
Cette symbolique alchimique cachée du drapeau ne semble avoir été relevée que par Fulcanelli. Or, il faut bien prendre la mesure de ce que représentent ces couleurs dans la pratique des Anciens.
En usant du protocole d’Alexander Von Bernus dans Alchimie et Médecine, page 106-107, il nous a été donné de vérifier expérimentalement ce que représentent vraiment ces couleurs.
L’œuvre au noir ou bleu :
Cette partie de l’œuvre consiste à réduire dans un cartouche d’argile des ingrédients disparates énoncés par Alexander Von Bernus. La combustion lente à l’intérieur du cartouche donne une substance noire uniforme nommée fullerènes. Ce sont des assemblages d’atomes de carbones en forme de ballon de foot.
Cet état du carbone n’est connu que depuis quelques décennies par notre science orthodoxe. Pourtant, il y a 5 000 ans et plus, en Égypte, à Sumer cet état du carbone était connu et fabriqué. Il nous a été donné d’expérimenter la couleur bleue foncée stade un peu plus avancé que le noir. C’est sans doute pour cela que Fulcanelli associe bleu et noir comme début de l’œuvre, première couleur du drapeau français.
L’œuvre au blanc :
Ce stade nécessite une chauffe supplémentaire et ionise les fullerènes. Le nouvel agencement électronique des atomes de carbone rend l’ensemble de la substance absolument blanc comme neige. Il est remarquable de voir que agencement nanométrique et modifications électroniques étaient vraisemblablement parfaitement maîtrisés par les Anciens. Les alchimistes n’ont fait souvent que suivre des recettes sans aucune notion des connaissances scientifiques requises pour permettre de telles prouesses. Nous avons ainsi l’authentique signification de la seconde couleur du drapeau français.
L’œuvre au rouge :
Ce stade nécessite de remettre en chauffe l’œuvre au blanc. Ce stade amène à emprisonner des atomes d’azote dans les fullerènes, ce qui génère une excitation électronique puissante à effet protonique. Là encore nous sommes face à une science défiant tout ce que nous connaissons en physique, puisque nous sommes en mesure de modifier des noyaux d’atomes à très basse température. Or, qu’est-ce qui différencie l’or du plomb : 3 protons et quelques neutrons. L’œuvre au rouge recèle les éléments atomiques d’un potentiel transmutatoire à basse température. Nous avons là plus qu’une symbolique quant au rouge de notre drapeau national.
Comble de l’ironie, sous la bannière de l’alchimie, depuis 200 ans, scientistes, zététiciens, rationalistes de tout poil et académiciens attardés français ont travaillé avec un zèle et un acharnement titanesques pour détruire toute idée alchimique dans notre pays. Cette situation ubuesque est digne d’une comédie shakespearienne.
Pire, les internationalistes qui ont détruit la royauté française, n’avaient vraisemblablement pas décelé qu’ils nous offraient les couleurs du Grand Œuvre, du vrai !
Alors serions nous sans le savoir détenteurs de pouvoirs transmutatoires, symboles libérateurs ? La cathédrale de Notre Dame de Paris en est t-elle le témoin séculaire ?
« Il y a un pacte 20 fois séculaire entre la grandeur de la France (ses couleurs ! ?) et la liberté dans le monde. » Ce ne sont pas les paroles d’un mystique, d’un théosophe ou même d’un alchimiste, ce sont celles de Charles de Gaulle.
Frédéric Morin